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Me Myself&I

PJ #2

J’ai fait ça vite fait ce matin.

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Donc le concept c’est de se lever, d’aller prendre son instrument et de jouer. Bon presque, moi je prends d’abord une Ricoré en lisant des articles avant et là je tombe sur celui-çi, qui me fend le coeur en deux. Et puis ça m’énerve aussi, pour toutes les phases où on dit que c’est pire ailleurs pour les femmes et que donc ici, fermez votre bouche.

Laziness > World.

Anyway. Let’s jam (and think but I should not).

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Audio&Games

same old same oh wait

Resident Evil 5, seventh installment of the serie. Announced in 2005, released in 2009. Eurogamer review quote is interesting:

“Possibly the most jarring initial impression is how little has changed in the core game mechanics. While the prospect of split-screen or co-op online play tantalises, there’s an inescapable feeling of deja vu and frustration as you play with an AI partner. To all intents and purposes, this looks and feels like a reskinned, high-def Resi 4, and what was hugely impressive back then often struggles to repeat the trick this far down the line.”

The producer of the game said it will be like RE 4. So all this time for better graphics, new environments and same camera nightmare and bullshit.

Great. What’s interesting is that improved graphics make people want to have improved gameplay too. But this is not the case. the so called next gen is just a way to keep game developers busy. But it doesn’t care about gamers, they’ll eventually eat that anyway (it’s inevitably better than the old).

For me RE should only be a FPS if you want an improved experience over the old RE 4 style. Left4Dead took the crowd though.

In other news, Rock Band gets totally -well a bit- funked up, in any case I think that’s cool. Funk is the shit (remember that Black Hole Sun drum part you so love to play? That’s the One, that’s the funk man).

Wanting to save the planet? Do a game (what better simulation could you have?), here are the rules.

 Flashbang guys interview about their last game, Blush.


Unity in action. Indie revolution?

Mike Inel How and Where games are special, they have a deep and soothing feeling even if they are more of well polished prototypes than full games. I want more stuffs like this, it’s incredible how in term of visuals it’s always, always same old. Now that’s a bit more fresh.


Dreamy.

2D Boy are making a post mortem of World of Goo in seven parts, here’s the first one with the first version of the game, after a week of work. It was in 2006. If you have WoG -I bet you do-, you can now feel the work needed. This post mortem is pure gold.


Mad props for the polishing of this 48 hours game.

Pulse, the dutch global game jam winner is going to be produced! The original concept is here, try it it’s great.

Unreal Engine 3 is used in every single AAA titles with some Gamebryo hits (Fallout 3), game engines are the core of the industry (Torque, Unity and of course homemade/open source libs-based ones).

Jeff Tunnell has started a new company called PushButtonLabs and they’re releasing something really interesting: a game framework based on Flash to do games for a lot of machines. PushButtonEngine is here.

I hate Flash when it’s not a stupid and simple video player. For the crappy IDE, all the loading in the world, bad audio compression no mouse scroll and lame cursor animation I just want Flash to die in a medieval way. BUT with an engine around, why not leave him alone? Could be useful. I’d like to see more competition in this way.

But the trend of the super busy browser handling gazillions of javascript and 3D plugins is starting to get annoying: it doesn’t use well the raw power of cpus/gpus. You could say Windows did that too (compared to closed architectures) but web is getting things worst: if I load five services say FB/Digg/Gmail/Blurst/Flickr, the browsing experience gets awful, no matter what the browser is. What is all this process power I have that can’t be used? Something is wrong.

Next time I’ll talk about Asus. Once again.

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Me Myself&I

Contrats d’esclaves

Il y a un an, je signais le contrat français le plus recherché de tous les temps, le fameux cd-aille.

Aïe, exactement.

Premier constat: en dehors de deux trois cas particuliers, les potes de mon âge qui travaillent et qui sont indépendants vis à vis de leurs parents, proprios ou en passe de l’être etc, travaillent tous pour le public. Sauf les codeurs. Et encore.

La dualité cdd/cdi date des années 70. Depuis, le cdd n’a fait que être renforcé et de plus en plus utilisé au fur et à mesure que les règles du licenciement devenaient de plus en plus strictes.

Là est tout le paradoxe (là où on préfère se coller la tête dans le sable); pour faire en sorte que tout le monde soit sur un pied d’égalité au niveau du marché du travail, il faudrait simplement que le licenciement soit moins stricte. De plus le cdd touche particulièrement le secteur des services et de la connaissance vous savez, les seuls encore d’avenir (je vous conseille vraiment fortement ce bouquin, dispo en français) ou disons encore en expansion.

Effectivement la France traine des pieds dans ces domaines l’emploi est très précaire, là où des pays moins rigides à ce niveau tirent leur épingle du jeu.

Alors bon mon contrat n’a pas fonctionné, j’ai fait deux fois 3 mois de période d’essai pour m’entendre dire que finalement non. Je crois que toute mon âme voulait que ce soit le cas. Sorte de dégoût et de soulagement à la fois, bizarre.

Quand j’ai signé ce contrat, j’ai eu cet espèce d’impression de me sentir soudain en sécurité tout en ayant la sensation que je venais aussi d’enclencher la putréfaction de mon être. Comme si j’étais au chaud chez moi avec un zombie rodant entre ma chambre et mes toilettes. Can’t end well.

Mais j’ai laissé aller. Concentré sur ma tâche de faire un bon boulot, de rendre le logiciel vivant j’ai pour le reste tout laissé trainer: le soir je rentrais, junk food séries films et surtout pas d’action, plus d’efforts pour jouer de la basse tout le temps avachi etc. Il est vrai que les transports en commun, le traintrain quotidien usent et c’est là où tu te dis à chaque fois “ouais mais je m’en fous chuis en cd-IIIII \o/”. Bonjour la motivation de grand-père.

Je me souviens d’un truc horrible quand j’étais dans ce cas là: la discussion avec ceux qui ne le sont pas. Et qui t’envient, ne serait-ce que l’espace d’un regard de la part de ton interlocuteur, d’un coup tout vide. Assez terrifiant. Plus la presque impossibilité de ne pas être FIER d’être en contrat indéterminé… Moi ça me mettait super mal à l’aise. J’ai pas vraiment aimé ça, de faire un job qui me plait comme elle ou lui, de bosser comme elle ou lui de la même manière mais d’avoir tous les avantages et pas eux.


C’est bien mais tu peux toujours pas te loger. Ohlescons. 

Le cdd je ne lui en veux pas spécialement, j’ai pas mal gagné ma vie avec en 9 ans de taf. Je me rappelle que l’intérim quand j’étais étudiant c’était pareil, ça pouvait permettre de gagner pas mal de blé. Le manutentionnaire avec qui je travaillais se faisait ses 2 000 euros net via contrats chez Adecco.

Sauf que tu peux toujours pas bouger de chez tes parents vu que ces contrats sont nuls et non avenus devant un proprio. Ce qui est totalement dégueulasse vu que les cdi se sont largement rarifiés en trente ans que ces contrats existent mais que le besoin d’être logé lui, n’a pas bougé.

L’argent rentrant n’a pas d’importance, place au statut. Place à la pyramide du motherfuckin’ system. Place aux coups de pute et autres passe-droits.

Pour accéder à une situation stable dans une petite case de la pyramide en France c’est simple: il faut un cdi ou être en couple avec quelqu’un qui en a un (et en général les femmes vous êtes abonnées au temps partiel) ou travailler dans le public ou être en couple avec quelqu’un qui l’est. Celui qui a le poste de la sécurité “se fait chier” pendant que l’autre en situation plus précaire “s’éclate”.

Sérieux les stats autour de moi sont ultra flippantes à ce niveau c’est quasi du 100%. En province c’est 110% même. Du coup je vois des gens qui sont ensembles pour la raison principale de pouvoir vivre dans autre chose qu’un studio, pas spécialement parce qu’ils s’entendent bien ou qu’ils partagent véritablement quelques valeurs (naturellement, ça ne se dit pas ça). Les conséquences sont lentes et profondes. Les femmes seraient les premières à profiter de plus d’égalité, sans doute que beaucoup d’affaires se termineraient beaucoup plus vite sans dépendance financière -et de statut- envers l’autre etc.

Les générations précédentes nous ont dit “mais faites des études longues et vous serez sauvé”. My FUCKING ASS. Des milliers de bac +4 et plus se sont retrouvés bien niqués par les conneries des vioques.

Le système est pourri cherchez pas, études ou pas ça ne change rien. Il y a une énorme inégalité entre le cdi et les autres, point. Et ça moufte pas hein, on entend personne là-dessus. Le président voulait tuer la dualité indécente du contrat de travail français, tout le monde lui a dit de la fermer (alors que perso, j’aurais voulu l’entendre et le voir faire qqchose uniquement là-dessus). Il doit y avoir des intérêts cachés, genre la force du public qui à coup sur faiblirait si le contrat de travail du privé était sympa et bon joueur. Bref.

Le problème c’est qu’en trente ans de cette merde, les gens sont devenus dingues. Mes parents, génération “le chô quoi ?” pour eux le fait que je signe un cdi c’était la consécration.

 
Et les tickets restaus et la mutuelle et la clé pour les cafés pas chers..

On a descendu plusieurs bouteilles de champ’ entre la signature, la première période d’essai et la deuxième. Ils étaient trop jouasses, quand bien même je leur disais que la boite était pas très carré et que ça présageait des difficultés à venir. C-D-I osef !

Le problème c’est que le fait que je ne l’ai pas, que je m’en sorte autrement, plus indépendamment, ça leur en bouge une sans toucher l’autre alors que c’est maintenant que j’aurais besoin de cheering you know. Ils restent sur la déception du “ok, cruise control” raté. Il n’ y a pas de cruise control dans la vie. Pas pour ma génération,  mais ça ça leur passe au dessus de la tête.

Pour nous les jeunes actifs, ce cdi c’est devenu le piège de la mort qui tue: une fois que tu l’as, tu ne bouges plus vu tout ce qu’il t’apporte. Même si la boite te sous-paye, même si tu galères ta race dans les transports en commun, même si ton boulot te fait vomir parce que tu pourrais faire des trucs bien mieux. C-D-I mec !!

Et ça, c’est pour moi le pire de tout, le gâchis social, voir des gens talentueux baisser la tête et pourrir de la sorte à la cafette en mode COGIP, “impossibles à licencier” par la boite non plus. Statu quo le plus inefficace possible qui plombe le pays. Mais chuuut.

Une horrible culture s’est imposée: profite et branle un minimum.

Ce qui me fait halluciner c’est que personne n’est heureux plus de 3-4 ans à un même poste. D’après ce que je vois c’est déjà un extrème. Alors à quoi bon le côté “écrou en titane” du contrat ? Dans mon secteur ultra compétitif, ultra hardcore en terme de marché, cette sclérose et cette raideur ne sont pas envisageables. J’ai mis du temps à le comprendre.

C’est même plus le contrat en lui même le problème aujourd’hui je pense, c’est l’attitude générée qui fait que les boites feront tou
t ce qu’elles peuvent pour ne pas embaucher avec. La COGIP zombifiée au secours. Pas entre trentenaires de l’industrie du logiciel c’est pas possible. Ben si, chez quelques rares boites du secteur à embaucher avec ce statut c’est ça. Ca m’a fait flipper moi qui sortait de la jungle. Merde des gens qui ne s’intéressent même plus au domaine et qui comptent les jours voir les heures comment dire, ouaaaaa. En fait tous les cdis dans mon milieu se sont tous transformés en quelque chose de moisi qui pourri à plus ou moins vive allure selon le caractère de la personne. Vous aussi ? Fear mon gars, fear.

Les compétences se rouillent, les idées ne fusent plus.. C’est la paupérisation de l’esprit quoi. Dans le domaine du computer game (R&D + innovation) il est n’est pas possible de se le permettre. Sauf dans quelques boites aux poches bien remplies et qui se vident à vitesse grand V en temps de crise (cf les 40 milliards de fermetures de studios de dev et les licenciements qui vont avec mais au moins aux US ils peuvent retrouver du taf ou créer de l’activité plus rapidement).

Alors je sais, de l’autre côté il y a un autre système qui aimerait bien qu’il y ai qu’un seul contrat de travail: les banques, comme ça elles nous fourniraient des crédits à gogo et nous feraient payer des agios de oufs comme aux US avec tout ce que ça leur profite, et tout ce que ça nous coûte.

Il y a sans doute un équilibre à trouver. Vite avant que toutes les personnes qui souhaitent faire des choses se barrent ailleurs. Oh merde l’exode a déjà commencé. Et ça me titille parfois.

Depuis l’année dernière je n’ai jamais autant pesé le pour du contre. Et ça me fait chier.

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Me Myself&I

lag-land, la glande

Bien sur, c’était de la couille.

Hahahahaha, supair.

Attention demain dernier jour de la semaine.

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Me Myself&I

Il y a du blond en moi


Sacré lui

Depuis cet album, je ne compte plus le nombre de fois où cette image est réapparue dans les méandres de mon cortex, quand je commençais à flipper. Pour tout et pour rien.

Ca marche bien. Je l’utilise encore.

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Audio&Games

Women in Game

Today is the international women’s day. Time to talk about women in the gamedev.

Like in every field, girls are quite fucked from the beginning. In the society in which we live, they usually learn about the glass ceiling very quickly. In the technology area it’s even more weird because the virtual ceiling is there despite the fact that women are appreciated in game development: with 88.5% of young males, girls sure have a real attract on them.

Jade Raymond is the obvious case of why international women’s day unfortunately still means something. Two years ago with Assassin’s Creed launch she had been draw as a cocksucker surrounded by men with sperm on her (yeah it’s rude to read it like this but I juste describe the picture) by some so-called humorists, meaning that she only had this power on the game you know how.. It went big on news etc. Jane from GGA put it in the best way possible:

“It is dangerous to be a beautiful woman in the games industry. Oh, it’s difficult to be a woman, period. But if you also happen to be attractive, you are doubly cursed. On the one hand, yes, when you’re at a conference where you are among a handful of women, you are remembered, and that is advantageous. But for every break you may get for being female and attractive you get a chorus of voices telling you that you don’t deserve it because, well, you are attractive, and obviously you can’t possibly have gotten where you are without seducing men along the way.”

I would add that you don’t have the choice but seduce people when you’re not like them, either passively or actively. I bet Jade choose the first one because she doesn’t need to play actively this card I mean:


She’s smarter than you. Also, you’re jealous.

At the end it’s always the same shit called double standard and it’s fucking annoying because it ruins the basics of human relationship: trust and honesty. When people can do, they just can period. Whatever the face they have. Pushing a woman in the dirt sort of give me the proof that a lot of people can’t handle something normal (ie a woman doing her job well and yeah, I see what you did there). It’s sad.

But they are here. A bunch of women in games are actively doing the main tasks of the gamedev, not just QA and PR (which are fine).

Sophie Houlden is one of them. She does master Flash (like this 48 hours real fun game she did alone), she does visuals, code game design. I want to marry her.


She’s stronger than you. Plus you’re not her type. 

Erin Robinson is an indie game developer. She does adventure games. For example this one is called Little Girl in Underland and has been made in four weeks. She did all the art with a laptop no scanner and her talent. She also did this big game with a little help. Just wow.

Watching their works I think demakes and game design research are way more useful to the medium that pure technical iteration of ten or twenty years old game designs.


She’s motherfuckin’ more soulful than you. In fact you’re not in the same league.

Heather Kelley. She’s a game designer doing a lot of things -even music- since 1994. She co-founded Kokoromi collective (damn I love these people).

She did make me think a lot with her Lapis project. In 2009 it would still be a flying saucer on the market but I love the idea. I can see how to make the audio fit for that project but I digress.

Game design challenge + social empowerment = deep change, large mind shift.

We’re still afraid about that because it’s much more powerful than every kind of entertainment.

Or maybe we’re lagging because we don’t have enough women in the industry :)

(more women in dev pics on my flickr Hall of Game set)

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Me Myself&I

Salut l’artiste


Ceci n’est pas un emballage vide.

Salut monsieur Didier. Deux semaines que je mange de ton saucisson de montagne que mon père m’a rapporté de là-haut et je dois t’avouer que c’était un régal. En m’en remémorer les alpages et les cascades gelées le long de la route. Je viens de le terminer et c’est un peu triste d’un coup.

Heureusement il me reste un demi kilo de Beaufort (soit 6 litres de lait ^^) a déguster avec des petits légumes et des pains suédois.

En tout cas Didier merci encore. J’espère que la prochaine fois ce sera moi qui ira chercher deux trois sucreries sur la place de l’église et te faire un coucou.

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Me Myself&I

Pas bien

Je le vis mal de ne pas avancer aussi fort que je veux en ce moment.

Je le vis mal d’être surpris par le soleil, et de me rendre compte qu’il est beaucoup trop rare sur ma peau.

Je le vis mal que ce soit ma source principale de réconfort et de zen. Un astre à des millions de km, lol.

Je le vis mal d’être constamment obligé de coller des points négatifs aux gens en qui je devrais avoir confiance sans réfléchir.

Je le vis mal de devenir -par moment et en pleine conscience- aussi sloppy qu’eux.

Je le vis mal d’avoir quatre amis sur plus de cents sur FB a être de la même couleur que moi.

Je le vis mal qu’on me dise que la couleur de peau, c’est pas important alors que chaque putain de nourrisson se fait inspecter pour savoir quel bout vient du grand-père et s’il a le nez de sa mère. Visual rules everything around me.

Je le vis mal de faire des jeux parce que c’est une activité complexe ingrate et très difficile à expliquer et que les histoires de ce type (l’abus des médias, l’hyre des HDC gamers) n’arriveraient pas si le respect existait envers la profession. Il faut qu’on le gagne. Et ça sera pas avec du SF IV, ni du Babyz. Ce sera avec du game design plus fort que ça.

Je le vis mal de ne pas ressentir d’arguments forts ni de réelle prise de position sur le web français. Juste de la dissertation ad vitam eternam.

Je le vis mal d’avoir un numéro de siret grâce à l’énergie du président et de sa clique.

Je le vis mal d’aller sur 30 et de ne pas avoir couché avec une fille chocolatée. Damn je préfère pas trop y penser ça me complexe presque.

Je le vis mal de voir des vieux boire des coups en jouant aux boules alors que si je fais du skate en fumant de la skunk, je peux me faire embarquer en moins de deux sans que ça n’apparaisse comme choquant. Ca l’est merde.

Je le vis mal de le vivre mal. De le vivre. Mal.

 

Ok ça va mieux.

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Me Myself&I

Aventure numero un a tour de controle

On parle de lancement d’une application sur le marché. L’analogie serait plutôt un atterissage.

Avec ma petite équipe on amorce la descente sur le premier jeu. Et comme vous le savez vous qui prenez l’avion, c’est encore long avant d’y être :)

On a lancé la deuxième prod, j’ai les outils en version beta, synchro pc-iphone via wifi pour loader/unloader mes wavs, ça fonctionne sans gros bugs, impec.

Les réacteurs fonctionnent bien, le cockpit manque encore de peinture mais est ready. Les premiers vols d’essais sont concluants. On va pouvoir faire ce gros trajet !

Le carburant appellé soleil revient c’est bon ça..