dimanche 3 avril 2005, 14h45
Mais carrément pas. Moi je pleure parce que je suis à cet instant, rien du tout, inutile. Je suis fragile et endolori des mains et des cuisses à cause d’un déménagement, du coeur à cause du reste. Il était beau mon bouquet. Quoique j’ai pas trop eu le temps de le regarder en détail. J’aurais voulu faire la sieste avec elle, caresser son corps. Encore. Encore. Mais ce n’a pas été le cas. Je pourrais presque ajouter “et ça ne le sera jamais”. J’en ai rêvé toute la semaine, et j’ai continué aujourd’hui. Je suis trop con et d’ailleurs, dmc et oui mesdames et messieurs…
Si cruelle journée… Avec ce soleil magnifique.