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Me Myself&I

Damn

Au moment où je commençais à ramollir du bulbe et à penser que le combat des femmes, n’était peut être pas une priorité, la Vie vient me rappeller que ce combat ne connait pas les pauses. Et qu’il faut le gagner.

Holy fucking shit.

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Industrie du jeu 2.0

Shéma tiré d’un article de Ars Technica sur la naissance de la Wii. La droite rouge, c’est mon arrivé dans le milieu. Juste au début du Grand N’importe Quoi, comme une fleur.

C’est pour ça que je me suis fortement intéressé à la production, parce qu’en commençant "ma carrière" je croyais que ça allait être une montée en puissance plus tranquille, que j’allais pouvoir naviguer plus facilement entre les studios. Still here. Mais bordel, si ça pouvait se calmer un peu et être comme entre 92-97, ça serait bien.

Gamasutra donne son avis: qu’est ce qui ne va pas dans l’industrie et ce qu’il faut faire pour que ça marche. Hop. Je suis déjà au courant de tout ça mais trop trop peu de studios ont cette vision… Selon que les gens soient vétérans dans le milieu ou pas, cette espèce de nouvelle économie du jeu -de vision à long terme je dirais- prends plus ou moins…

Pour être pro il faut se former, té. Next Gen.biz recense 50 bouquins à lire.  Bon ben j’ai commençé à commander sur l’Amazon. Tout ce qui est game mechanics et design en général m’intéresse fortement…

Je ne résiste pas à poster ce lien, montrant différentes personnes s’essayer à la Wii (merci Robin). J’adooore.

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Audio&Games

Casual vs Core

Joystiq parle du core gamer et chez GenerationDS on parle du casual gamer à travers un bon article avec des liens dedans.

Il n’y a plus les joueurs et les non-joueurs, mais une myriade de façon de consommer le jeu.

Autre point qu’on a tendance à ignorer  en nous reposant sur les core people: le jeu est en concurrence frontale avec les autres divertissements. Ce qui veut qu’il va falloir piquer des clients (enfin du temps de cerveau, eh oui…) au cinéma, à la télé, aux dvds (raison pour laquelle tout ces gros lobbys font des pieds des mains pour garder leur hégémonie sur votre cerveau)… Ca veut dire qu’il va falloir les séduire. Ca veut dire qu’il faut une séduction du niveau de ce que propose les autres médias et force et de constater que dans le casual gaming en général l’esthétique et le design sont minimisés au profit des mécaniques de gameplay (qui prennent un temps monstrueux à équilibrer => tout le budget y passe) tandis que les médias tradis regorgent de divertissements aux multiples lectures, se destinant tour à tour à toute la société. Le format des séries à la télé en est l’exemple le plus puissant (d’où cette intangible envie de faire des épisodes dans les jeux).

L’esthétique core gamer (fortement burnée) passe mal auprès d’un public mixte qui constitue le public casual même si les éditeurs tentent le rapprochement entre les deux mondes à coup de grosses ficelles (frag dolls someone ?). De l’autre côté on abuse peut-être un peu de la cuteness des petits jeux, notamment sur DS…(on ne touche pas à Animal Crossing par contre, non)

Pourtant le casual gamer peut-être plus hardcore que le hardcore gamer: plus de 80% finissent le jeu et ne jouent en général qu’à un jeu à la fois. C’est finalement assez logique: pour les casuals le jeu est nouveau, les hardcore sont nés avec et sont de fait, bien moins enclins à passer 60h/ semaine sur le Solitaire de Windows.

Le jeu est chronophage, peut-être le pire médium à ce niveau. Jouer avec plaisir deux heures semble ne prendre qu’une petite demi heure là où un film de la même longueur ne peut pas être considéré comme un épisode de 25 mn. Cette donnée fait peur à la tranche d’âge casual, au planning déjà bien rempli (30 ans et +).

Bon. On est bien avançé. Un truc qui m’était resté à l’esprit en lisant mes feeds rss était une phrase chez Kotaku je crois, qui disait en gros "Lego Star Wars en coop’ avec sa nana, c’est dlabaalle".

Quelqu’un connait des jeux casual en coop’ ? Non parce que se faire savater par sa copine sur Mario Kart ou la défonçer à Tekken c’est sympa, mais bon des jeux riches où le coop’ serait clé et bien sur, sans se taper des heures et des heures de jeu grind (oubliez les mmo)… Finalement ça court pas les rues. 

*TILT*


Je déconne, infaisable ce putain de jeu.

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Me Myself&I

Le coup du (méchant) lapin

Comment j’étais prêt. L’autre soir, tout était aux petits oignons pour toi. J’ai même fait les courses un dimanche matin, pour ton petit déj’ du lundi, tout était prévu. J’ai descendu 3 m cube d’emballages de geekeries, j’ai récuré, j’ai amélioré, j’ai optimisé, j’ai cute-isé même. Ze Lupanard.

A chaque bruit de porte mon coeur s’est emporté (et ce soir là les voisins se sont fait plaisir avec la porte d’entrée). Rapides réflexions étoiles dans les yeux sur les prochaines 5mn, avec toi. 

A 2h00 sans news, j’ai capitulé.

 
*Ziiiiip*

 (C’est à dire que normalement c’était à toi de me faire *ziiiip*. Tant pis, je le fais bien aussi…Raaaaaaaahputaindebordeldemerdedechie !!)

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Audio&Games

Changement de canal

C’est passé assez inaperçu mais c’est énorme (bien que hey Georges, t’aurais pu faire ça plus tôt): Mistah Star Wars après avoir fait un don de 150 millions de dollars à son ancienne école (USC, Californie), a décidé d’arrêter de faire des films. Il a grave de chez grave raison: quand on dépense 200 millions de $ pour créer un film PLUS 200 autres millions pour le vendre… Ca n’a pas/plus de sens. Le prochain Harry Potter je crois, flirte avec le milliard de $ de budget tout compris… Jeeez.

C’est exactement ce qui devrait se passer dans l’industrie du jeu, en encore plus vite mais bizarrement on fait genre qu’on a pas vu: ils sont nombreux les studios à dépenser des fortunes pour sortir des jeux "cinéma", des jeux "grand spectacle". Sauf que les risques sont du même ordre que pour le cinéma et ont atteint également un stade de grand portenawak.

Je pense que les MGS 4,  Gear of War et autres jeux grand spectacles, vu ce que ça coûte à créer (deux semaines à temps complet pour modéliser un PUTAIN de personnage !!) pour avoir toujours le même gameplay et la même AI retardée… Ils vont se rarifier, simple question de temps… Un peu comme le cinéma d’action américain qui même s’il est sans commune mesure plus crédible que celui des 80s-90s (sfxs++), n’en est pas moins toujours la même chose, peut être même pire en fait (Top Gun vs Stealth). 

Bref, +1 Georgio. 

Rien à voir, imagerie gay qui me fait trop marrer chez Threadless, via Wonderland:

 
Je crois que le champignon fige Super Marius, dans un rictus inavouable… Bien sur Peach est partenaire et c’est Luigi qu’il faut sauver…

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Audio&Games

Le devin

 

"While they have satisfied until now the fantasies of twisted computer-nerd minds, they will soon blossom into a much richer array of fantasies." 

"As computer games become a mass market item, they will fall prey to the homogenizing forces of the mass market. The emphasis will not be on originality or creativity, but rather on adhering to the time-honored formulas."

1982 Cris Crawford dans "The Art of Computer Game Design".

"I believed that by this time we’d be seeing a wide range of entertainment software addressing a wide range of tastes. That has not happened; computer games now are completely unchanged in terms of their basic appeal. They are precisely the same fast-action shoot-em-ups or nerdy strategy games that we were dishing out 15 years ago."

1997 Cris Crawford dans une interview.

 

2007 ?  Toujours la même chose en HD-blur-normal-map-physic. Mais tout n’est pas perdu.

"Eventually, games will be recognized as a serious art form. The exploration of games as a serious art form will be restricted to a tiny fraction of the total activity. Most of the effort will always be more along the lines of pop-art. Yet this tiny group of games-artists will be responsible for creating the future classics of games, the games that endure."

Il ya trois machines pour eux en ce moment: PC/DS/Wii.  Ya t-il des games-artists ? En six ans de carrière je peux dire qu’ils sont très très, trop peu… Les games-graphistes s’en branlent du game, les games-programmeurs sont nombreux à être des nerds à la culture sur-grillée voir au mauvais goût assez certains (pourquoi sont-ils si nombreux à coder avec de l’eurotrance dans les oreilles ???) et les game audio designers n’existent toujours pas (chuis quand même un putain d’ovni quand je discute avec mes confrères de grosses boites, hihi). Les level designers sont des game designers frustrés et les game designers, des réalisateurs de films désenchantés. Comment dès lors obtenir une équipe créative, talentueuse, partageant la même vision et les mêmes perspectives d’avenir capable de se sortir les doigts du cul pour pondre un proto qui owne d’étonner ?

Cris le problème est là: les games-artists, on les cherche encore… 30 ans, ça commence à faire long quand même.

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Me Myself&I

Harold B

Il "suffit" d’avoir quelque chose que les autres n’ont pas. De le diffuser sur le net. D’attendre quelques semaines que des millions de clics se soient manifestés et que le buzz s’étende. Ensuite la une de médias tradis se fait toute seule… Gratuitement. Putain j’adore le net.

Kamini de Marly en est la preuve. Vous l’avez sans doute tous vu. Marrant parce que en dehors du côté net/buzz/youtube/flash trop marrant, j’ai la même histoire. Un poil différente. 

  

Né à Paris, mes premiers souvenirs sont localisés dans ce village, à l’intérieur de ce petit cercle rouge qu’on voit pas très bien. J’étais dans ma poussette quand on allait chercher le lait là haut (sur la gauche en haut de l’image) qu’il fallait transvaser à chaque fois (l’écrémage les jeunes…). La boulangère en J9, J7, le boucher pareil… La ville une fois par mois quoi.

J’ai seulement fait la maternelle. Mais je m’en souviens bien: la cantine, le bouffage broutage d’herbe autour du sapin, la course dans la neige fondante avec les futals en velour bleu marine dans les boots grises trempées avec mon pote Gaël, les goûters du Quatreur, l’apprentissage du vélo sans roulettes dans la pente du garage, le tuage de cochon et la super bouffe qui suivait… Après je suis parti. Je posais beaucoup de questions parait-il. Mais je soupçonne mon père de broder une légende là. En même temps ça se tient…"dis, pourquoi t’es pas noire toi ? Ils sont où les autres, j’en ai vu à la télé ? Comment se fait-ce ?.."

Je revenais deux fois par an. Tout content de leur montrer mes progrès en tout…

L’année dernière j’y étais (et je ne peux le relire sans crispation de la gorge). Cette année, après un bon petit paquet d’épreuves j’ai envie d’y aller dans mon havre de paix sancerrois. En même temps Casablanca => région parisienne => root en deux semaines et demi j’ai peur de ne pas pouvoir le gérer correctement… Trop de couches.

J’ai pourtant envie d’entendre l’accent du pays, rien que de le recréer dans mon cerveau me pique les yeux… Ben tiens je vais laisser perler quelques larmes douces/amères ça mange pas de pain… 

See U roots, always in my heart…

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Me Myself&I

France et Herbe

Monsieur

disait en son temps (Septembre 1978):

Come here, baby. Mary I love you. Do it girl.

 

Female chorus: Mary Jane, Mary Jane

 

I’m in love with Mary Jane.

She’s my main thing.

She makes me feel alright.

She makes my heart sing.

 

Rick’s chorus:

And when I’m feeling low,

She comes as no surprise.

Turns me on with her love.

Takes me to paradise.

 

Do you love me Mary Jane?

Yeah. Whoa-oh-oh.

Do ya? Do ya? Do ya?

Now do you think you love me Mary Jane.

Don’t you play no games.

 

Female chorus.

 

I love her just the same.

I love her, Mary baby, just the same.

The woman plays no games.

Now, now, now.

 

I’m in love with Mary Jane.

I’m not the only one.

If Mary wanna play around,

I let her have her fun.

She’s not the kind of girl

that you can just tie down.

She likes to spread her love

and turn your head around.

 

Rick’s chorus.

Female chorus.

Rick’s chorus.

Yeahhhhh! Ooowoooo.

Oh baby. Oh baby. Hit me.

Whoah, Mary. Only love.

I love you, yeah. Whooo!

Something until we give it now, lovey-dove.

Uh-huh. Wow, baby!

Sing! La-du-da-da-du-da-dahh.

Sing! La-du-da-da-du-da-dahh.

Sing it for me baby.

Come Mary, Mary Jane.

Sing it for me baby

 

(elle fait partie de mon private répertoire, vu comme elle gr0ove… Taste it)

 

Je suis amoureux d’elle. Oh yes I am. Et quand je vois en 2006 comme il est difficile de se procurer un peu de weed en région parisienne… Bordel de merde. A bientôt 30 piges me faire chier à ce point pour éviter de fumer un truc coupé à la silice et/ou à la sciure de verre (ouais, carrément) alors qu’il n’a jamais été aussi simple de se procurer de la cocaïne (putain c’est la mode des 80s, des fuseaux alors hop ya les drogues qui suivent ou quoi ?) et bien c’est super bizarre. Surtout quand je vois des gens déchirés à la tise à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Je prends la drogue la plus simple qui existe et c’est moi qui galère et craint le plus la justice. Sans déconner.

 

Je me fous des excitants, si je veux être excité, je prends rien.  Laissez-moi le choix… 

 

Tout le monde me dit que c’est la faute à Sarko, c’est sans doute vrai. Maintenant depuis que je suis rentré, j’ai l’impression que tout est de sa faute. Si tu dis que t’as la chiasse et que c’est de la faute à Nico, tout le monde acquiescera… On aime avoir quelqu’un sur qui taper en France. Pendant ce temps la plupart des fumeurs retournent sagement à la nicotine. Pourquoi pas… Moi j’ai pas envie. Mais trop pas.

 

J’ai vu que le Doc était UMP ? Mais qu’est ce que tu fous mec !!! J’espère que t’enfumes un peu le gouvernement en lui montrant les chiffres de consommation par rapport au reste de l’Europe qui a dépénalisé. Peut-être qu’avec les yeux un peu rouge il verra mieux ce qui coinçe.

 

Je me vois bien faire des inhalations avec ma grand mère, elle pour se soigner, moi pour me détendre…

 

Je trouve ça dingue que dans un pays autant à l’écoute de son peuple (si on relativise à l’échelle monde), quelque chose d’aussi bête engendre un tel tortillage de cul.

 

Pendant ce temps je me régale avec la saison 2 (qui déchire la tapisserie de ta grand-mère) de Weeds, qui va certainement donner beaucoup d’idées aux français (vu l’engouement, si j’en crois le nombre de fichiers VOSTF qui n’existaient pas l’année dernière…) maintenant qu’elle est diffusée chez nous. Ah ben c’est même fini en fait. ^^

Nico, tu ne pourras pas surveiller chaque foyer du pays… Alors gagne du temps. Et de l’argent.

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La prise de tête

I think it’s important to be careful with the whole game-to-movie thing because I think a lot of game designers have this Hollywood envy where they don’t believe they’ve made it unless their game has been turned into a movie.

Cliffy B, lead game designer de Gear of War dans une interview chez CVG. Je suis inquiet par la génération de game designer un poil plus vieille que lui et qui a toujours ce complexe du cinéma, ce complexe d’infériorité en terme d’émotions. Je l’ai eu aussi et puis maintenant avec le recul, absolument plus.

C’est un débat passionné, surtout pour les amoureux du cinéma. Mais il se finit toujours pareil: le jeu, les jeux ont autre chose que les autres médiums n’ont pas et ne parler que d’émotions est assez ridicule en fin de compte. D’accord j’ai déjà pleuré devant un jeu mais j’ai largement fait plus de crises de rire que j’en ris encore…XD

Des fois j’ai l’impression que seuls les sentiments les plus tristes sont…"nobles" et dignes de perdurer.  Ben non, la joie et le fun restent également, merde quoi. Et puis lorgner constamment sur le 7ème art est un peu un aveu d’impuissance face au défi qui est de créer des mondes, vivants et captivants. Cliffy B résume parfaitement la difficulté (et tout l’intérêt) du game dev:

What you’re looking at (à propos des jeux) is the perfect balance between art and science. You have artist types – long hair, fashionable painters – working with nerdy programmers. Then you’re trying to appeal to a mainstream audience… you’re trying to be everything to everyone at the same time. You want to appeal to the person that’s been playing games for just a few years, as well as someone who’s been playing for 30 years. How do you make something that does that?

Et comme dis monsieur Raynal, si on veut des histoires qui transportent, on a ce qu’il faut… Des films, des albums de musique, des livres, des BDs. So what’s the point ?

Play.Enjoy.Share.Don’t think.

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Me Myself&I

Mon beau pa-yyys

Mais que c’est bon. Après le 4 par 3 "foire aux vins" à l’aéroport qui m’a fait gloussé bien fort et la mauvaise blague de l’Orlyval (vous savez, ces gros pourris qui taxent le ticket à 9 euros), je me suis retrouvé dans le rer. Des gens qui rient. Des gens qui font la tronche, du soleil, de la grisaille, de la douceur et un peu de froid… A Châtelet je sais pas pourquoi mais j’avais les bras cassés, grosse peine pour transporter ma valide d’un bras, je devais donner l’impression d’être bourré avec le grand sourire que j’avais sur le visage, malgré l’évidente difficulté que j’avais à me mouvoir. Encore au rythme " 2 de tens’ " dû à la chaleur africaine, ce speed souterrain m’a fait du bien. Ensuite je suis arrivé et j’ai joui dès l’entrée de l’immeuble. J’ai couiné de bonheur pendant toute cette période de réappropriation de mon chez moi (merde c’est petit!), du rebranchage des machines aux premières notes sortant du WOOFER et du 5.1… Le Big Mac de ce soir là restera dans ma mémoire… Bonheur.

Lendemain combo: champagne, vin blanc, vin rouge, alcool de prune chez les parents… Torché comme lors des premières cuites adolescentes, j’ai couru dans l’herbe après le chien. J’étais encore plus torché. Heureux.

Le soir restau thaïlandais avec mes cop’s et ce fut exquis: la bouffe of course mais aussi de discuter avec des femmes, après des semaines sans. *soulagement* Les moustachus disparaissent de ma mémoire…(ouais parce que deux ont essayé de me taper du blé à l’aéroport de Casa, tsss).

Ca m’a manqué et je n’aurais pas cru que ça me manquerait:

  • L’acoustique mate de mon appart
  • Le choix du monop’
  • Le jambon
  • La civilité des gens qui jettent leurs détritus dans les poubelles
  • Le haut débit costaud et sans intermittence

Ca ne me manquera jamais:

  • Les klaxons incessants
  • La pollution lourde (se taper un carrefour de boulevards à Casa, c’est comme brancher ses poumons en direct sur le pot d’un John Deer qui roulerait au pétrôle brut)
  • L’uniformisme arabe, l’islam et les femmes ninjas
  • Les blattes de 4 cm de large
  • L’eau goût-tuyau
  • L’immense richesse collée à la grande pauvreté 

 

Aujourd’hui c’est les giboulées, le bide qui gargouille, l’esprit encore tout joyeux ("ptinayéchuisrentré"). Et je pense si fort à toi… J’attends que ça détrempe un peu et puis je vais aller respirer les arbres.

Et vive le rahlouf.