Pffiu… Le disque dur de mon laptop chéri est en train de rendre l’âme. Je suis obligé de faire tout doucement, d’arrêter les torrent et les sendit, le temps d’en changer mais là j’ai pas trop le blé. C’est à dire que j’ai fait quelques courses chez Ikea, je suis en train de passer mon appart en version 1.2 avec des vrais éclairages qui ressemblent à quelquechose (ailleurs qu’autour du ministudio), une optimisation de l’espace ainsi qu’un joli nettoyage du grand placard pour faire place à un dressing digne de ce nom. J’ai bientôt fini et ya pas à dire, ça change tout quand même (toujours pas d’apn, toujours pas de thunes, toujours pas de photos…). Ca va être nickel cet hiver, hiver qui tarde à venir c’est dingue j’ai toujours pas enclenché le chauffage…
J’ai vu l’allocution de notre président hier soir sur jt.france2.fr. Ce type est déprimant et devrais partir. Autant que les lascards de la rue qui brûlent des caisses ou veulent ressembler à 50cent, ce dernier étant affiché un peu partout… On dirait un bébé. En plus gros.
Je parle de ces deux zigotos mais en fait je m’en fous d’eux, même s’ils participent insidieusement à ma mauvaise humeur. Je me fous pas d’une personne qui va recevoir un gnon dans l’épaule pour rupture de contrat de bonne amie la prochaine fois que je la verrais, Putain tu vas m’entendre saloperie… Enfin jdis ça là dans la douleur, bien sur… Ca me rend vraiment triste de perdre quelqu’un qu’on est pas obligé de perdre. Que rien ne pousse loin de moi, de nous (mais les autres s’en foutent maintenant, bravo t’as gagné) à part elle.
Je le vis super mal. Mais ce n’est rien.
Cette semaine je me focalise sur autre chose de bien plus important…
One reply on “After all is said & done”
En effet il est difficile d’esquiver les affiches de 50 cent dans le trom’ ces derniers temps… devant attendre le métro pendant quelques minutes j’observais attentivement l’une d’elles, tentant de décrypter ce qui peut plaire chez ce type. Ben… il aurait fallu que le métro soit à la bourre car je n’y suis pas parvenu : un black gonflé à l’air et à l’ego faisant l’apologie de la violence sur le même simili-beat, le tout en portant une croix incrustée de (faux) diams’… nan je ne vois pas, nan.