Category: Me Myself&I
summer (the first time)
"La confiance renvoie à une attitude générale, rencontrée dans des circonstances multiples, où une personne détermine son comportement sur la base d’un sentiment plus que sur un raisonnement ou sur une recherche totale de preuves. Faire confiance, c’est d’une certaine façon, se déterminer spontanément, en faisant l’économie d’une analyse fouillée et rationnelle.
La confiance peut à l’extrême trouver sa source dans une nécessité (se décider rapidement), dans une attitude de paresse (ne pas réfléchir), voire dans un simple trait de caractère, ce qui est révélateur de la difficulté d’une interprétation trop catégorique. Elle traduit l’incapacité des individus à s’interroger sur tout ou à craindre tout avant d’agir. Mais la confiance tend à diminuer la vigilance, ce qui peut se révéler très dommageable face à un danger réel.
La confiance est d’abord le fruit d’un effet d’expérience: la réussite répétée d’une action construit la confiance, qui peut conduire à une forme de comportement réflexe (passer au feu vert lorsque les autres s’arrêtent au feu rouge). Mais plus généralement la confiance est générée par un sentiment d’empathie (je fais confiance à ceux que j’aime ou que je trouve sympathiques), par le respect accordé à une personne ou à une idéologie (logique d’autorité), ou enfin par des gages apportés à cette fin et produits par des personnes ou des institutions bénéficiant des caractères précédents. Ce dernier mode renvoie à toute une logique de construction volontaire de la confiance, qui met en jeu l’État, des procédures et des institutions relais de statuts variés.
La confiance a une utilité sociale évidente au sens où elle favorise l’attitude de coopération et toute l’activité économique (échanges, prise de risque, initiatives). Toute société organisée tend d’ailleurs à générer en son sein un certain niveau de confiance, dont elle peut difficilement se passer pour exister en tant que collectivité solidaire, mais aussi un sentiment opposé de méfiance, par rapport aux autres, au sens des personnes non-reconnues membres de la tribu."
C’est quand même bien Wikipedia. Bon on peut dire qu’on est dans une société qui génère plus de méfiance que de confiance, de nos jours. J’enfonce une grand porte ouverte mais il ya un sérieux problème d’équilibre…
On fait quoi ?..
Stellar Fungk
Booooon… 12 heures entre le moment où j’ai dévissé le capot de mon ordi portable et le moment où je suis revenu à à peu près la même chose qu’avant. XP, une centaine de patch divers plus mes progs préférés installés plus tard, c’est reparti. Heureusement que j’avais sauvé les fichiers de config de la plupart, ça fait gagner du temps…
Ca y est il fait zéro°C ! J’ai toujours pas mis le chauffage… En fait j’ai pas vraiment froid (chuis plein Sud et vu qu’il ya du soleil tout les jours…) et puis j’ai envie de voir à quel point ça fait baisser la note d’électricité. Pour voir. Ok, ça m’arrangerais bien de payer moins…
Oui cette semaine, ce qui était important c’était que je signe un contrat de travail. Ca s’est pas fait, certes et je suis toujours vivant, huhu. I’m in, me dit-on dans l’oreillette. Mais en même temps, non. Et ça… J’ai de plus en plus de mal. Ca fatigue. Je veux sceller l’histoire afin de penser pleinement à mon taf et bosser d’arrache pied quoi… C’est pas indécent comme souhait dans l’idée, c’est comme ça que ça marche, le monde du travail. En tout cas en dehors du JV. Je cherche pas à me trouver une place pépère au chaud. J’ai jamais connu ça et j’aurais jamais la mentalité pour. Mais une vraie collaboration ça commence par une mise au point de l’administratif (contrat de taf et salaire) et puis c’est marre, ‘tain. Je veux monter dans le bateau quoi, merde. Ya pas de raisons. Et plus j’ai de moins en moins le choix, faut le dire. Les assedics, c’est bientôt finoche (question subsidiaire: Vaut-il mieux un Etat avec un système de compensation généreux, ou un Etat qui te permette de bosser facilement ?.. mon choix est fait…) et il est hors de question de finir 2005 sans job, même si je suis pas en position de force pour changer cela… Je vais quand même le faire, j’ai ma petite idée.
Je sais bien que ça ne doit pas jouer mais bien sur, ça joue: que dire au padre ? Sisi, l’économie du jeu repart et le jeu vidéo c’est pas seulement du tac²boum² que je lui dit. Alors qu’il voit bien que je suis toujours en galère pendant qu’il se tape des pubs Call of Duty à la télé… Il doit se dire que je me fous de sa gueule d’une force…lol. Pourtant, je suis on ne peux plus sérieux.
Mardi soir, je dinais avec en face de moi, Eric Chahi (ouep, il (re)travaille sur un jeu apparemment…). On discutait jeux, game design avec son pote et Wanda, c’était mortel… Jeudi je faisais donc un tour chez les mecs en slaïps (comprenne qui pourra) et ce proto me rend dingue… Encore un effort tu y es presque mon gars…