Harry Potter, J.K Rowling. Pas vraiment le bon exemple de la loose. Première personne au monde à être milliardaire en écrivant des bouquins, une des femmes les plus puissante et adorée de la planète. Les initiales comme souvent dans l’édition, cachent le sexe de l’auteur afin de ne pas perturber le lecteur, des fois que celui-çi veuille brûler une sorcière créatrice.
Bon je tiens à le dire tout de suite, les explications à base d’essentialisme, ça ne me convient pas. Trop court, trop simplet. Je n’aime pas l’explication du "maman intégré au plus profond des femmes" qui annulerait ce que je leur reproche en tant qu’individus. Déjà parce que pour le moment on fait encore des bébés à deux que je sache, et puis parce que j’ai bien du mal à croire qu’un père ne soit pas essentiel à l’éducation d’un enfant. Les congés paternités se développent, tout les papas que je connais s’occupent et sont connectés avec leurs enfants autant que leurs nanas (voir plus) qui travaillent donc pour moi, il n’y a plus cette "excuse" maternelle depuis un petit moment. La "connection" de chair entre l’enfant et la mère ? Pure construction sociale et glorification du rôle ancestrale des femmes.
Ca marche à tout les coups…
Qu’est ce qui nous sépare, quelle est la première différence entre les êtres humains ? Le sexe. La toute première différentiation finalement, c’est celle là et on l’oublie souvent.
Malgré cela, on a très très peu de différences biologiques (saviez-vous par exemple que les hommes ont tout ce qu’il faut pour produire du lait avec leurs seins et qu’ils leurs restent un embryon d’utérus planqué ? Que l’efficacité musculaire ou l’endurance sont les mêmes, les hommes ont juste un léger avantage de capacité respiratoire, ou que durant un orgasme l’intervalle entre les spasmes soient le même chez les hommes comme chez les femmes, soit 0.8s dingue non ?).
Et pourtant quand on voit ce qu’implique d’être dans un camp ou dans un autre…
Pour vous les femmes la grande tendance, quasi-ancrée peu importe les générations qui passent, peu importe la complexité ou la futilité du problème, vous n’avez pas confiance en vous. Mais jamais quoi. Un problème d’estime de soi. J’y vais de ma petite analyse.
Le monde (controlled by men and validated by old women) vous renvoie allégrement, constamment cette image ce qui vous pousse à un opportunisme "de survie": c’est soit tu saisis l’occasion, soit tu ne pourras à priori (très ancré en France), jamais la créer. Alors saisis-là. Encore plus fourbe, si tu la saisis et que tu es bonne (dans tout les sens du terme), tu peux être au top en trois secondes. Je schématise bien sur mais dans l’idée c’est carrément ça. Soit fucked up, soit on top. Ou les deux en même temps.
Et vous pensiez que c’était un phénomène nouveau ? Allons, on en faisait même des films en 84.
Ca vous rend un brin schizo et il est facile de le comprendre. Ce qui vous conduit à…
L’opportunisme et les mensonges, facilement plus gros que ceux des hommes. Des copines à Nina Simone dont je viens de lire je cite qu "Elle considérait comme ami celui qui se trouvait à ses côtés lorsqu’elle le désirait" en passant par Fadela des NPNS, c’est votre porte de sortie, votre moyen le plus sur d’évoluer dans la société et une fausse bonne idée du "j’évite de faire de la peine en racontant des salades ou en laissant pourrir".
Aujourd’hui dans notre petit monde vous avez la côte, c’est un fait. Des développeurs de jeu à l’électorat, tout le monde tente de s’attirer vos faveurs. Merde, Microsoft a même désigné une jeune femme de 23 ans, Sanaz Ahari (meet her !), pour diriger sa toute nouvelle branche "moteur de recherche", c’est pas rien. Le monde s’ouvre complètement et a nécessairement besoin des 50% de ses habitantes, aussi. Et pas dans la cuisine.
Alors que vous êtes dans une phase sociale hyper-constructive de vos vies d’individus, que vous n’avez jamais été autant prises au sérieux que maintenant (merci aux femmes qui se battent pour et à celles qui poursuivent leurs idéaux) pourquoi si peu confiance en vous bordel ? Même le gars "qui a aucun chance" arrive à plus croire en lui que vous dans des situations über-favorables à votre égard ! Vous avez déjà vécu ça avec une copine vous les mecs, genre elle flippe pour un truc qui vous semble pas loin d’être ridicule (vous ne "comprenez même pas"), alors que dans le même temps vous êtes plutôt admiratif pour sa capacité à traiter beaucoup de choses à la fois, ou de savoir gérer tout un tas de paramètres différents.
Chez les mecs si on maitrise, on flippe pas déraisonnément par la suite. On gère, on a confiance. Souvent déraisonnément aussi, mais c’est le petit plus qui nous fait avançer au niveau humain depuis toujours. Je dirais que dans ce sens là, c’est pas (trop) grave (enfin… Mais j’en reparlerais avec les zoms).
Pour tout, à tout les degrés et même sur des choses où on est à égalité de fait, de la simple drague à la compétition sur des jeux online (jamais je ne m’y ferais), en passant par aller voir ses résultats du BAC ("nan j’ai trop peur, vazy toi"). Il y a toujours un moment où, même si vous êtes prêtes, motivées, le risque de perdre vous fait vous effondrer voir vous désengager totalement parfois AVANT même d’avoir agit. Je trouve ça problématique en fait. Pour faire poli.
Moi j’veux bien… J’en veux plein même
Education, encore et toujours. J’ai rapidement été témoin du fait qu’il valait mieux être un mec sur Terre: les filles autour de moi étaient toujours réprimandées sur le mode "parce que une fille ça ne doit pas…" pendant que la moindre connerie de ma part était limite glorifiée. L’exemple le plus flagrant étant le rapport au sexe: ca fait marrer tout le monde de voir une petite bite de gamin se raidir, alors qu’une petite fille qui se tripote l’entrejambe, c’est juste MAL. Dans le genre pour donner confiance, subir ça pendant toute la période de la vie où on découvre le monde qui nous entoure, ça forge c’est sur… Ca forge, construit et entérine la loose féminine, c’est certain. Et moi ça me posait déjà des questions.
Bien sur il y a des exceptions et justement, je parle de vous, là (parce que pour les autres c’est de toute façon, mort). Vous qui quand bien même vous avez réussit à avoir cette indépendance d’esprit, cette volonté de faire comme bon vous semblent, arrivez à céder à la pression environnementale, sociale et toujours -gentiment-patriarcale. Le meilleur exemple est je crois, la perte de poids. Pas une, pas une ne m’a pas fait le coup du stress des 3 kg de trop, même la plus anti-carcan social de ce genre que je connaisse vigile sa masse corporelle et au moindre doute, fait son petit régime pré-estivale.
Si ça c’est pas du vice.
Et ta mère ?
Manque de confiance en soi pour s’affirmer avec ses 3 pauvres kilogrammes mêlé à l’opportunisme du dit corps, plus sexy et qui dans un monde dirigé par les hommes, sera encore pour un moment toujours non pas utile, mais pratique. Hein, ne niez pas.
Beau cercle vicieux. Etant de l’autre côté je ne peux pas vous en vouloir n’ayant que peu de pression environnementale, je dois simplement tout aller chercher quasi tout seul pour tout (personne ne me filera gracieusement de coup de main pour ma chasse d’eau, personne ne me filera un bout de chichon, personne ne me draguera et personne ne me dégotera de taf), mais c’est un autre sujet.
En même temps non. Parce que ça ne me dérange pas d’aller chercher, créer les opportunités d’être actif, tout ça. Ca peut être fatiguant (et j’aimerais bien que ça le soit moins de temps en temps) mais ce n’est pas injuste, ça forge la volonté et créé l’identité, deux notions qui parfois vous manque cruellement (la mode et la capacité des meufs à être toutes pareilles sans que ça ne les dérange: en ce moment jean 80s avec mousseline blanche et ballerines, dix par jour, voir par deux ou trois ce qui considérant la tétrachiée de choix de fringues chez les femmes, prouve qu’il y a un paquet de moutonnes écervelées pardon je m’énerve, c’est peut-être seulement Paris).
Là où je trouve que vous assurez pas (mais les hommes aussi, je ferais un autre post sur nous car non, je ne vous mets pas toute la misère du monde sur le dos non plus), c’est que vous râlez à juste titre des inégalités que vous subissez tout en en créant, tout en jouant -gentiment- avec. Et franchement, il faut arrêter cela. J’ai droit à aucun cadeau et je fais parti d’aucune communauté pour m’aider et quelquepart, c’est cool. Ca devrait être comme ça pour tout le monde, tiens. A mort la manipulation.
Vous serez tentées de me dire "laisse moi tranquille sale jaloux, si j’ai envie de profiter des failles d’un système moisi et que ça me va, ça me va!"
Sauf que vous êtes et vous serez toujours perdantes, c’est à peu près du 100% sur. Si c’est pas tout de suite, ça sera tard et violent (un mec qui se barre, une nana sans job dans la merde à 40 ans, on a jamais vu ça) en tout cas peu importe, vous l’assumez rarement bien pour être poli. Ce qui fait qu’on envie très peu vos vies, nous les hommes. Vous voyez mieux que moi à quel point cette opinion populaire, cette sorte de "tactique de la proie" qu’on vous impute par défaut et dont vous apprenez habilement à vous servir, vous nuit et peut même aujourd’hui en France, vous être fatale avec un taré.
Je crois naïvement mais sincèrement que si une égalité la plus parfaite possible se met en place entre les deux sexes -énorme erreur de Gandhi sur ce coup-là-, alors les inégalités suivantes (shape, couleur, vie sexuelle, je n’ajoute pas religions considérant ces dernières comme suffisamment stupides pour se mettre sur la gueule pour toujours et intrinsèquement anti-égalité des sexes) s’égaliseront en deux temps trois mouvements. Impossible de construire sur des fondations branlantes, ça s’écroulera toujours à un moment donné.
C’est pour ça que plein de choses sociétales merdent sans qu’on comprennent trop pourquoi, on a pas encore créé cette égalité de sexe et la preuve, "les droits de l’Homme"… Si si c’est une preuve.
Pas spécialement contre les hommes, mais envers vous aussi hein.
Alors les meufs, il faut que vous bougiez. Je sais bien que c’est plus facile de jouer du cils pour se faire réparer son paiçai ou autre problème à votre putain de portée, mais Mamour il a peut être envie de vous voir vous démerder seule, comme vous avez envie de le voir se débrouiller avec le nettoyage de la salle de bain ou la préparation d’un we. C’est sur, lui il rechigne mais c’est balot. Tandis que vous c’est complexe mais par contre, c’est nettement plus intéressant pour votre vie -c’est du Pouvoir- et nous on le sait, c’est pour ça qu’on le fait à votre place (sans compter la turlut’ post-opératoire). Mais bref.
"Ah non mais ça m’intéresse pas de savoir bricoler mon ordi" m’entends-je souvent dire. Parce que tu crois que Mamour s’en bat pas les couilles d’avoir une lunette de WC propre ? Et le jour où t’es seule ? Comment ça jamais ?? Ca arrive…
C’est comme ça que l’on se retrouve avec des nanas qui dénoncent les injustices auxquelles elles font face -dans une veine donc assez radicale- tout en se déclarant surtout pas féministe (ce qui ne consiste pas à le hurler sur les toits mais à l’assumer quand on défend son point de vue pro-femme) et en tenant à le faire savoir. Ouuuuuuuuuuh. Confiance en ce que l’on croit, assumer ses positions et volonté de changement ? Nah. Toujours la même chose.
Il va falloir aller en guerre, girls. Pas seulement sur le front extérieur envers nous les hommes.
Car même même contre nous, l’unité n’existe pas chez vous. Je suis toujours étonné de voir comme même dans la difficulté, vous vous aidez rarement voir, vous vous pourrissez mutuellement. Je pense que c’est dû au fait que vous ne soyez pas une minorité numéraire, ça tue la motivation: la moitié de la planète ne peut pas partir en "guerre" contre nous, les bites. Surtout que jusqu’à maintenant, on est plutôt là pour être conquit si vous voulez vous en sortir dignement. Machiavélique.
Bref mesdames (pas de mademoiselle ou de princesse réducteurs qui tiennent, vous faites caca aussi on me l’a dit) soyez simples, plus honnêtes, moins suiveuses et vivant à travers le regard des autres, occupez-vous de votre cul plutôt que d’essayer de le monnayer ou carrément de le faire porter par un Don Juan qui vous plantera quand vous vous y attendrez le moins. Mentez moins, surtout à vous même, c’est contre-productif.
Agissez de façon respectueuse et cohérente envers vous et -soyons fous!- vos croyances profondes peut-être que ce sera un peu plus lent ou plus dur dans la vie, c’est le prix à payer je ne vais pas mentir.
Je pense que ça le vaut: Le pari d’un onctueux futur n’en devient que plus réel. Et puis on dort mieux aussi.
Dans la prochaine partie je m’occuperais de nous, les lascards.
9 replies on “Le monde tourne mal, partie I: les femmes”
D’accord sur une majorité de points.
J’ajouterai juste – mais pt’êt’ que pour vous c’est pareil??? la vieille pression qui pousse à la maternité.
Se démerder toute seule, d’accord (bon presque, y’a pôpa qui fait assistance tél pour la mécanique, faut bien apprendre un jour). Mais c’est moi qui rêve ou la moindre défaillance t’est toujours renvoyée dans la face encore plus fort? (ce qui explique -sans justifier ok ok- les renoncements avant l’action. La nième baffe n’est pas utile, merci.)
Suis fatiguée de ce %@#! de conditionnement bien ancré à l’intérieur.
Sinon, tu peux développer pour Gandhi stp? merci.
Je ne sais pas si tu rêves mais je pense que c’est à la fois une occasion pour le vieux système de vous renvoyer une défaillance qui légitime leur situation (et vous sommes de vous rendre et de les suivre) et vous avez sans doute une assez grande sensibilité aux critiques, mêmes constructives. Soluce ? Obtenir un taux de défaillance minimal et apprendre vite.
Pour Ghandi c’est simple, il s’est battu toute sa vie pour imposer une égalité entre pauvres et riches avec non violence, sans poser la question d’une égalité de traitement entre hommes et femmes.
Il a été marié a treize ans et c’est sa femme qui lui a appris à lire et écrire. Mais c’est plus pour rire que j’écris que Ghandi a merdé: se débarrasser du plus grand Empire jamais créée et libérer un pays grand comme l’Inde est déjà plus que pas mal…
"Soluce ? Obtenir un taux de défaillance minimal et apprendre vite."
Hem, oui je veux bien mais c’est théorique ça, l’apprentissage par définition implique des erreurs puisque c’est d’elles qu’on apprend… donc le système décourage l’apprentissage en soi. Bref, ça se mord la queue, yapluka faire comme si de rien n’était et que les baffes n’existent pas.
Injonction à devenir super woman? meuh non voyons…
Sinon merci pour la précision sur Gandhi, justement je ne savais pas ce qu’il avait dit au sujet de l’égalité H/F, et pour cause: rien…
"donc le système décourage l’apprentissage en soi." Parce que tu es conditionnée à croire que les erreurs sont une preuve irréfutable d’échec. Il n’en ai rien ! Et c’est parce que tu te soucies beaucoup de ce que pensent les autres que c’est aussi important pour toi. Sinon tu vis ton truc, tu te plante, tu te relèves tu avances tu progresses et tu te fous de savoir ce que pensent les autres, dans le sens négatif tout de moins. Et si vraiment c’est trop dur, tu abandonnes et tes amis ta famille te réconfortent.
Enfin dans l’idée, et même si je ne pense pas que ce soit si théorique que ça, bien sur tout cela est sujet à 6 milliards de variables et n’est pas coulé dans le marbre…
Le coup de la défaillance et être capable d’y faire fasse sans honte ni remords, je trouve que ça fait parti de la responsabilité adulte. Et c’est pas tellement sexué (la défaillance chez les hommes culturellement c’est aussi la grosse réprimande mais comme on est élevé à avoir un gros ego on s’en sort bien mieux).
C’est pour ça que j’adore ce parallèle entre l’apprentissage et jouer à un jeu: apprendre, se tromper, s’améliorer passent beaucoup mieux si on évite de se concentrer sur le côté sérieux de la chose qu’on nous impose.
Merci pour ta réponse.
Et à quand la suite??????
Bientôt bientôt, je synthétise, je synthétise. ^^
Hi all!
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G’night
Tu sais quand tu es une fille qui fait tout toute seule, qui se farde pas, ne suit pas la mode, critique les genres et cette société, ne dit pas amen a tout les mecs, ne bat pas du cil ne se laisse pas aider porter sa valise, quand tu te bouges, quand tu es apte a dire tout ce qu’ils t’ont fait et qui ne t’a pas plus que tu sais ce que tu veux et surtout ce que tu veux plus …..;;c’est simple ………tes amies les filles te trouvent masculine et anti hommes ( donc pas d’amie)
Les hommes te disent " tu hais les hommes, tu es castratrice" et aucun, aucun ne veut de toi. parce que eux considerent les choses de facon "outils" ils doivent servir a quelquechose, non etre là pour desir plaisir et partage. Donc si tu sais tout faire, tout dire et tout etre…ben …je te laisse imaginer.
Alors meme si tu continues coute que coute et que non tu ne porteras pas de talons de string ou de faux cils pour manipuler ou plaire, que non tu n’appelleras personne pour supprimer les saloperies de pop ups qui envahissent ton ordi…..ben tu es, totalement rejetée!
C’est le mimétisme social, les pressions de groupe, le bouc émissaire rappel a l’ordre de la norme sinon "tu seras puni"
Et c’est pour ça que les femmes continuent dans leur connerie. Parce qu’on leur apprend qu’elles ne sont rien sans un homme, parce qu’elever un enfant seul c’est la misere, parce qu’etre vieille fille c’est ….(mademoiselle versus madame inexistant chez les hommes et perdurant encore en 2008) et que les hommes continueront toujours a dire " si tu es pas comme je veux et si tu fais pas comme je veux, je prendrais les autres"
Alors faut avoir le cerveau bien accroché pour psychologiquement gérer une telle stigmatisation, des humiliations, des préjugés et d’être le bouc emissaire du groupe social.
La solitude et l’absence d’affection, poussent a se ranger.
la liberté d’être en elle même n’existe pas.
Quand a l’ego pour tout mener, on a pas appris a en avoir. On est félicité encore et toujours sur nos qualités d’objets décoratifs et que je n’ai jamais eu d’accident, que je maitrise mes créneaux sera toujours "une femme au volant". sexe faible, inférieur, moins forte, plus bête, bonne a faire des gosses, baisée sans etre assouvi (phallocentrisme penetratif médias cinémas journaux avec Excision culturelle interplanetaire et holotemporel IOI ) tout t’apprend à abdiquer sur tes besoins…parce qu’on te fait comprendre que , ce dont tu as besoin fondalement pour ton narcissisme et ton epanouissement, c’est pas sur terre qu’on te le filera. Il y a l’autre, il est plus fort que toi, et il te le fait comprendre. Et un etre humain est un etre social, n’ecouter que soi, ne croire que soit, sans confrontation au réel et aux regards, c’est être psychotique.
j’en suis la premiere navrée. mais les exemples sont pluriquotidiens et pluri supports.
Bonne continuation quand meme ;)
Bizz