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REc

Je cherchais un enregistreur pro numérique ultime (fait chier j’ai pas de moteur de recherche sur ce blog et du coup ben je peux po m’auto linker /o\). Je crois que j’ai trouvé la perle rare. Comme d’hab’ les prix sont… mais faut dire, c’est fait pour durer une vie.


Je connaissais AATON pour leurs caméras, j’avais un prof qui arrêtait pas d’en parler de ces foutues caméras AAAAAAAton. En tout cas pour le son, ça tabasse !



8 pistes 24/96, un dd de 120 Go et un graveur DVD, 15 heures d’autonomie, alim phantom, aes… Bien sur tout est automatisable et rappellable par mémoire. Et dire que j’aurais les moyens quand j’aurais l’âge de mon padre…

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La nouvelle night star

Tu te la raconte avec tes playlists à faire smurfer Benoit XVI ? Tu maitrises l’enchainage de déboiteries de dancefloor sur ton Ipod ? Les soirées Upod sont pour toi.

 

“Comme son nom l’indique vous devez amener votre iPod pendant la soirée, et l’on vous laisse 30 minutes où vous êtes le DJ. Faites votre playlist et essayez de mettre une ambiance de folie ! Les personnes présentes vont voter pour vous et le dj en herbe ayant obtenu le plus de votes pendant le mois en cours se verra offrir des accessoires “mac & iPod” et aura cette fois-ci 4 heures pour lui tout seul pour mettre l’ambiance !”

 

Die vinyl, die.

 

[via w3sh]

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aah yeah !

Regardez ces quelques clips bien sympas. Avec le Rock Steady Crew s’il vous plait.
 
Featuring over 65 musicians, daKAH Hip Hop Orchestra is one of Los Angeles’ most unique musical experiences. Having started as a 25 piece ensemble in 1999, word soon spread and both the band and its following started to grow.
 
des rappeurs, des violonistes, des solistes, des gens qui ne jouent pas d’instruments d’autres qui en jouent depuis 30 ans, des machines, du bois du cuivre, du classique, du XXème s…. Toutes nationalités confondues. Le tout en LIVE, parce que la musique LIVE est une expérience incomparable ! Bref c’est grand quoi !
 
Thanks Funkhome ;)
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Un artistentrepreneur est mort

Car c’est cela qu’il était d’abord, Eddie Barclay, avant d’être le symbole d’un style de vie sur la côte d’Azur. Un mystère que ce bonhomme pour moi. Un français qui aurait pu avoir plus d’admirateurs pour le travail accompli que pour ses soirées blanches quand même…

son histoire musicale est intéressante. Le fait de concilier la chansonnette et le Jazz. Le gars avait Quincy Jones en directeur artistique bordel. Et en même temps il faisait du blé avec des trucs niais, vendus à des centaines de milliers d’exemplaires. Et c’est du Jazz et du Rythm and Blues américain – autrement appellée la musique noire américaine- qu’il va tirer sa dextérité et sa capacité à pondre des thèmes plus entêtants les uns que les autres. Et ça c’est une constante de la musique du XXème s., l’omniprésence, à un endroit où à un autre, de la musique noire américaine. Même très loin à St Trop’ avec Dalida.
Bon il a dû vite racheter des catalogues de chansons également. Rien de répréhensible. Mener de front, bien, l’artistique et le business, c’est fort. Ca devrait être encouragé et pourtant tant de temps après le succès d’Eddie, ben des Eddie-like, y en a pas eu des masses depuis…
Eddie Barclay a du flair, et des amitiés. Comme celle qu’il noue avec un journaliste noir de la revue américaine Ebony, qui lui écrit : “Tu sais, Eddie, j’entends parler d’une invention très particulière. C’est encore en laboratoire, ce n’est pas sorti. Mais à mon avis tu devrais faire un saut à New York. Si cette invention réussit, on pourra sur un disque enregistrer une demi-heure de musique. Il sera pratiquement incassable.”
:) </autosatisfaction>
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26°c

En cette après midi ensoleillée, je suis allé nettoyer et jouer de la basse dans les bois. Basse électrique, sans amplis, ça sonne pas trop. Ca fait clickaclicka surtout. Et bien vlà ti pas que Engadget me signale l’arrivée imminente de ceçi. Un seul mot: Wo0t ! C’est carrément top. Tout comme l’ordi portable, jouer d’un instrument électrique où on veut, avec un son correct, ça change la vie, ni plus ni moinsse.

 


 

Je suis pas sur de voir des cadres de la défense avec ces sacs à mains-bo0mbox… 4 piles AAA et c’est tipar pour une sélection de folie…:p

 

Mais c’est quand même super jolie… La musique est partout et fait parti de notre quotidien, presque aussi nécessaire que l’eau qu’on boit. Bon c’est sur, ça fait surtout vendre des produits totalement inutiles et donc parfaitement indispensables, comme dirait la première fashion victim réaliste venue ;).

 

Sinon j’écoute beaucoup Frank McComb ces derniers temps et je vous conseille son dernier album datant de 2005, Straight from the Vault. Allez hop pour la petite review.

On commence avec White Line In The Sky, court mid tempo bien groovy, mêlant le piano, la belle voix de Frank, et un son de synthé super funky… Belle intro en matière, tout l’univers cosy et chaleureux du bonhomme se retrouve dans cette minute 47.

I’d Be A Fool. Yeah… Toujours dans la lignée du premier morceau, mid tempo un peu plus enlevé, avec nappes de rhodes qui caressent et enroulent, clavinet ultra sautillante et efficace à gauche et toujours cette voix parfaitement maitrisée, profonde, mais sans en rajouter. Basse et batterie sont apparemment synth mais avec un groove très live, n’ayez crainte messieurs dames Wink. Un titre qui pourrait faire un single sans problème. 4 min 32 de bonheur.

To The Left. Instrumental. Thème très sympathique, varié, mené par ce son de synthé lancinant, espiègle et puissant. Solo. Ca groove en diable, bien plus que sur ce que j’ai pu écouté récemment comme l’album d’un certain Amp Fiddler sans vouloir faire de comparaisons inutiles…(je pense à lui parce que ça sonne un peu pareil… Sans doutes les mêmes instrus)

The Thing I Failed To Do. The slow. Intro piano, la voix de Frank s’élève, toujours aussi sincère… Encore une fois le thème tape dans le mille et l’évidence arrive aux oreilles; c’est très très bon. Solo de rhodes, basse emplissante, roulante, Worrellienne…Magnifique !

Each Day. On reprend le mid tempo. Petite programmation de boite à rythme et groove toujours impeccable. Morceau plus introspectif (?), plus intime peut-être. Break au milieu et c’est parti pour une séquence qui me fait penser très fort à Omar avec ce charley en l’air et Frank faisant danser ses choeurs et voix. Un morceau de 4mn qui semble court ! Petit solo de piano à la fin en adlib…

King Of The Open Road. Instrumental. Encore une fois le thème coule de source, tout est parfaitement choisi. Inspiration très anglo saxonne ? (Loose Ends, Omar), en tout cas le style est remarquable. Arrangements que ne renierai pas un George Duke ! C’est très très bon… On se laisse porter par ce son. Et ça groove !! Quand apparait le moment du solo, ça s’éveille et se mets en place petit à petit… C’est honnêtement irrésistible !! Ca respire la liberté. J’adore.

Morning Glory. Rhodes. Mid tempo douillet. Encore instrumental. Frank ne s’égosille pas sur chaque piste, avec un instrumental fait pour sa voix, non. Sa voix est un instrument et il s’en sert…ou pas. Içi pas besoin, alors qu’il pourrait très bien. Petit thème et superbe partie de piano encore une fois, très marquée par monsieur Duke. C’est gaie, bluesy et ça passe comme une fleur…Il est très fort !

The Things That You Do. On revient dans le groove plus marqué avec une basse synth efficace. Frank rechante et après 10 mn d’instrumental, c’est un plaisir !! Sa voix n’en ressort que plus belle et plus forte.

Left Alone. Rhodes, rhodes rhodes. On ralentit la cadence. Frank chante dans le creux de l’oreille, le calme le luxe et la volupté sont tous présents… Dans une production impeccable, comme on les aime Wink, Frank se livre à un jeu de séduction qui ne doit pas laisser les filles indifférentes !!
Pas d’exagération, pas de cris, juste de la sensualité…

Still Has A Hold On Me. Mid tempo mené par un piano, l’intro déstabilise pour mieux introduire à un groove qui ressemble à une déclaration d’amour. Toujours cette touche très funky.

It Was You. Titre plus classique, dans le genre crooner. Frank y expose sa voix, mise en valeur par un instrumental dépouillé (basse/piano/batterie). Très chouette.

Good Past…A Better Future. On finit sur 1minute de groove au Rhodes… Petite ambiance, on pourrait se croire sur la plage, au soleil couchant…


C’est pas trop ma came en général les chanteurs, n’étant pas spécialement porté sur les voix… Mais vu la qualité globale, je ne peux que m’incliner… Et puis il ya cette sensation de sincérité, d’humilité qui transparait et qui donne beaucoup de charme à cette oeuvre contemporaine…Production de 2005 je le rappelle… Si vous aimez les vibes soulfunkjazz, c’est du tout bon…

Franky, il mériterait un grammy !

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Priscilla

Scott McLoud a raison. Grave.

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Meshell, Dance of the Infidel.

Album Jazz de Meshell. tout de suite on sent sa patte magique dès les premières secondes de Mu-Min, avec un beat puissant, des claviers spatiaux et une basse limite dub comme sur son dernier album. On enchaine sur Al-Falaq 113 avec toujours cette batterie au fond du temps. La Go-Go is there. Je l’écoute au fur et à mesure que j’écris. Ca me fait tellement penser à son expérience sur Cookie sur certains morceaux, sauf que là c’est un album entier dans le genre. Toujours sur le même titre, il ya des petits sons de l’espace qui se balladent en fond sonore, pendant que les cuivres jaillissent, que la guitare hurle. On passe à Aquarium, avec une intro digne de Goldy. Sons floutés, basse aquatique, Lalah qui chante par dessus et qui rappelle par moment, Björk. Instrumental jungliste, beat complexe… Un album de Jazz résolument ancré dans le 21ème siècle, même si les grappes de saxo si caractéristique de Coltrane et d’une certaine époque sont toujours là…Papillon commence avec du steel drum doux… Puis vient la basse de Meshell et les claviers d’ambiance puis les cuivres… C’est superbe. C’est doux, tout en étant tendu. L’impression que tout peut basculer en deux secondes vers un grand fracas. Mais non. Solo de basse de Matthew Garrison à la moitié du morceau, avec ces petites étoiles qui brillent en fond sonore et solo de chocolate starship keys.
Vient le morceau Dance Of The Infidel. Mille feuille de claviers sur le thème, sons éthérés presque pour les chorus… Grande dynamique. The Chosen, guitare acoustique et premiers balais sur la batterie. Grands espaces, sensation de liberté et de pureté infini.
On reprend un groove plus roots sur Luqman. Petites percussions disséminées à droite à gauche, rythme enlevé, à n’en point douter l’âme de Fela et de Miles sont là. On finis sur Heaven, somptueux blues de 6mn. Comparé au début, très hi tech, cette fin sonne 60s. Voix, piano, balais de batterie, basse. La classe absolue.
Vivement le prochain. Photo from a fan site.

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LA 440

Je suis tombé sur ces photos de piano:



C’est superbe non ?.. On les croiraient tout droit sorti d’un manga début 80s. Retrofuturiste staïle. Pianos Schimmel, je ne connais pas cette marque mais comme c’est allemand je leur fait confiance. Quand ils disent “La structure harmonique et l’ensemble mécanique ont été empruntés à la gamme confirmée des Concert Chamber CC 208. Ses qualités instrumentales sont modelées par des maîtres du métier.” je les croient sur paroles.


Les allemands masterisent le son comme personne, de l’invention du saxophone jusqu’au microphone, l’Allemagne a toujours été d’une redoutable créativité sonique.


Aujourd’hui encore, les softs-synths et autre émulations de phénomènes électro acoustiques, psycho acoustiques, sont trustés par des boites allemandes. Vive la forêt noire, vive l’Allemagne, vive l’Europe.


Quand à moi j’hésite encore entre commander ma JazzBass en Allemagne ou en Belgique…Mmmm en Belgique ils ont la couleur que je veux… Mais les Allemands sont supra dignes de confiance… Alors…. Que faire ?..


Il ne faut jamais, au grand jamais…

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D-fuze

Ceci est un test de podcasting.
 
Edit: Bon j’ai pas tout saisi encore je crois…
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La French Touch /o\

Je viens de m’écouter ceci:



Ben c’est tout pourri. Purée la différence avec la première SuperDiscount… Là ya rien, à part de la TB 303 filtered et du boum boum sans consistance. Pas de mélodies, pas de samples qui tuent, Alex Gopher sort toi les doigts du cul bordel. Et puis les noms des titres qui reprennent les noms des protocoles de transfert de fichiers p2p, ça fait trop je m’en fout, j’ai pas d’avis et d’ailleurs ça se sent dans le vide sidéral de cet album… C’est clair, c’est pas à acheter, merci la médiathèque. Et oui je retarde un peu mais la musique est intemporelle… Enfin à peu près ;)