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La routine quoi

Plein de son dans les noreilles en ce moment. Je suis au beau milieu d’une autre reprise, et puis j’ai un remix à rendre avant mi décembre et puis encore et encore… Après trois mois de jeûn musical au Maroc, j’ai les crocs et quoique j’en dise, la vie est belle quand même. Même si.

Par quoi que j'commence...
me disais-je en contemplant mon poste de contrôle.

J’ai les poignets qui souffrent (je crois que c’est du clavier à la basse que ça fait le plus mal, au clavier les mains se balladent, à la basse elles mangent il faut appuyer fort etc…) et avec le froid qui s’installe, c’est crampes en veux-tu nan ben c’est pas grave en voilà. Je fais des journées dites "de base" comme beaucoup de jobs, 9h00-18h00 sur mes projets, le reste étant en plus. Avec tout ces changements de casquette et de prise de tête, je ne m’ennuie pas d’un iota… 

Je pense toujours aux hypothétiques vacances mais en fait ce n’est déjà plus qu’un rêve… Je crois que je dormirais bien deux jours d’affilés.

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Audio&Games

Harcèlement fiscal

Tiens Renaud travaille pour nous, les créateurs de jeux. Enfin je sais pas si c’est une bonne nouvelle les aides fiscales aux développeurs. Ca n’a pas vraiment eu d’impact avec m’sieur Raffarin (qui a lâché ses 30 millions d’euros de crédits en 2004 après 2003, l’année de la chienlie) alors je vois pas trop… Le modèle se veut être le cinéma français qui engloutie en subventions un demi-milliard d’euros. Et pour quels résultats (et là j’arrête de faire mon ingénu) ?

  • Sur 200 films produits, 20 sont rentables.
  • Une centaine de ces films produits attirent 1,9% des spectateurs.
  • Certains ne sont jamais distribués.

En gros on fait croire que tout va bien, pire, que tout va mieux que jamais. Mais à la limite peu importe, je suis pas gestionnaire. Ce qui me dérange avec cette perfusion étatique, c’est qu’elle n’amène pas du tout de création, qui est pourtant le créneau sur lequel le ministre danse se bat. "blablabla, protection de la culture Frrrrançaiize"… C’est cela oui… Demandez aux jeunes réalisateurs le chemin de croix qu’est la recherche de crédits auprès de la banque centrale, le CNC. C’est toujours les mêmes qui profitent et la création audiovisuelle en France avec toute cette thune, et bien elle n’est pas plus florissante qu’ailleurs, tout en étant encore plus imperméable aux nouvelles têtes. Vincent Cassel peut en témoigner.

Alors c’est peut-être pas la peine Renaud (d’ailleurs au niveau européen, personne n’est pour). Surtout quand je lis les propos d’un haut fonctionnaire de l’Etat, datés de 2002 et qui disait (à propos d’une eventuelle suppression des aides au cinéma -à lire!-):

"pour les jeux vidéo, il n’y a pas eu besoin de lois et de subventions, mais le simple jeu de la concurrence et la recherche de productions populaires et à potentiel international pour obtenir d’excellents résultats."

Excellents résultats ouais quand même, on a trois éditeurs français dans le top 5 mondial. Pour combien de temps d’accord, mais pour le moment ils sont toujours là et Ubi a fêté ses 20 ans en septembre… Non Renaud si tu veux que la création se fasse en France et moins au Canada alors permet la fluidité dont a besoin la prise de risque qu’est le développement d’un jeu. Allez je t’aide avec un mot-clé: code du travail. Have fun.
 

En parlant de fun, j’en connais un qui va en avoir moins ces prochains mois et apparemment, bien fait pour sa gueule. Tomonobu Itagaki (c’est lui) est poursuivi pour harcèlement sexuel depuis 2003 sur une employée de l’éditeur de jeu japonais, Tecmo. La nana ajoute que Tecmo a refusé de l’écouter ou même de considérer le harcèlement dont elle se serait bien passé. Tomonobu est mondialement connu ces dernières années pour être le game designer principal de cette série de jeux. Et là je sais que vous les filles, vous vous dites "ça m”étonne pas !" et vous les gars vous vous dites "pfff, rien à voir !".

‘Doit y avoir un petit rapport quand même. Sisi.

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Streets of Fun

 
"Naan mais je bosse là, tu fais.."*cheeeze*!

Cet homme est en partie responsable du virus de la video game music qui m’a été inoculé quand j’étais gamin. Koshiro Yuzo San est compositeur, presque une légende vivante pour nombres de fans. Ys, Shinobi, Streets of Rage, Actraiser, Shen Mue sont les petits chefs-d’oeuvre sur lesquels il a oeuvré soniquement parlant. Et marqué quelques générations de joueurs.

Alors je m’étais toujours dit que je ferais un jour une reprise, un remix du monsieur. Ce jour est venu et c’est le moment de shipper d’uploader de mettre à disposition de.

 
Bobigny, collection automne-hiver 2006…

Fin 80 début 90. J’ai tellement latté de types et de gonzesses dans ma jeunesse… Du premier qui m’ai marqué, Target Renegade (vazy lâches-moi la pute lààà) à l’ultime Streets of Rage2, aux musiques certes moins marquantes que le premier mais avec en contrepartie, des bruitages de baffes à faire pâlir Bud Spencer et Terence Hill. J’y joue encore des fois rien que pour ça. "Ouiii approches toi là…*paf_paf_paf_PAF*". Jouissif.

Les seuls jeux avec lesquels on pouvait jouer à plusieurs (deux, je dis ça pour les djeun’s qui pensent qu’on a toujours eu 4 ports manettes sur consoles ;p) étaient les jeux de baston et les shoot’em up (mais vu la teneur hardcore de ces derniers, c’était pas super marrant même à plusieurs). Ce n’était pas encore trop la mode du VS à la Street Fighter et on jouait essentiellement à deux en co-op. Les beat’em all de ces années étaient donc axés là-dessus et il n’était pas rare de s’entraider (ou de se savater, huhu) lorsque les vagues de bad boyz arrivaient ("fais gaffe à droite ! je m’occupe de celui du haut !"), Double Dragon II sur Nes en fit une belle démonstration dans mes souvenirs… Mais Streets of Rage qui sortait de nulle part, fut une claque magistrale (97% dans Joy/Console News) et mis tout le monde d’accord. Je jouais chez un ami et je me souviens des premières fois où on finissait le jeu et hop reset, on recommençait au moins les trois premiers niveaux… Pour le fun, pour l’ambiance, pour les musiques.
Plus tard quand on me prêtait la Mégadrive, j’enclenchais la 16bit Cartridge de Streets of Rage rien que pour me faire des petits sound test (au casque bien sur). Et cette musique de fin me faisait triper… Alors…


Un manche, une Ricoré, des doigts, du soleil. Let’s rec’ !

Mais tout d’abord, les crédits. Je vais la faire façon notes de pochette.

Title: Good Ending from Streets of Rage Original Sound Track

Composer: Yuzo Koshiro
Bass: Harold P.
Guitar: Harold P.
Piano: Harold P.
Synthetizers: Harold P.
Drums: Harold P.
Percussions: Harold P.
Strings: Harold P.
Drum programming: Harold P.
Strings arrangements: Harold P.
Orchestration: Harold P.
Recording engineer: Harold P.
Recording assistant: Harold P.
Mixing: Harold P.
Mixing assistant: Harold P.
Sequence editing: Harold P.
Sound editing: Harold P.
Sound design: Harold P.
Main arrangements: Harold P.
Mastering: Harold P.
Assistant mastering: Harold P.
Encoding&uploading: Harold P.
Executive producer: Harold P.

Pas mal. 20 casquettes différentes. Yuzo peut se targuer en plus du titre d’audio programmer, ayant codé toutes ses musiques directos en assembleur (ou pas loin) pour les deux synthétiseurs de la console de Sega.

Voiçi la version originale:

Cliquoti Cliquota

And now, ladies and gentlemen branchez vos caissons de basse… Ma mienne:

C'est cadeau

Cette reprise/remix est dédicaçée à deux potes: Marc Rousseau et Stéphane Poncet. Là où je me sens dans un état second c’est que je voulais faire ce post ce week-end et puis blues oblige, j’ai loosé. Dans un absolu hasard, Marc m’a écrit hier un mail très touchant après des années sans nouvelles… Et moi qui comptait faire de ce post un avis de recherche déguisé pour toi Marco… Marrante la Vie! :)

Donc ouais dédicace. A Marc pour les parties endiablées du samedi aprem’ pendant ces années 90, le prêt de sa Mégadrive qui m’a par bien des aspects lançé dans le trip de la video game music ("un jour, j’aurais mon nom au générique comme Yuzo !" lol). A Stéphane pour les parties de Nomad au dernier étage du lyçée et plus généralement, pour son amour du jeu et de sa culture.

Comme on dit aux zu-ess (parce qu’en français ça fait trop pédé tu vois) et vu que je sais que vous lisez mon blog de temps en temps: Love U guys !

Yep... 

ps:

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Happy me

Elle ne réponds paaas, jamaiiis. J’enrage tout muscles tendus et une seconde après je suis vide. What.the.fuck.

Bientôt un mois sans une putain de nouvelle. Ouais je jure à donf en ce moment j’arrête pas pour tout, pour rien. Au final ça me fait sourire, sourire dont je n’ai qu’une envie le partager avec elle. Elle qui du jour au lendemain, disparait de mes écrans radars. La copine de copine me dit qu’elle va bien mais que quand même, c’est bizarre qu’elle ne me (re)contacte pas.

Bizarre ouais. Putain de chie.

Et là avec cet enfoiré de froid "normal saisonnier" qui vient de se lever, j’ai encore plus de mal à supporter cette absence dont je ne capte pas tout: tout semblait converger vers un désir mutuel et… Et c’est le drame. No news. Et à part envoyer des roses pour son anniv, lui écrire une zic et préparer un pti brunch j’ai rien fait de mal, je vous jure.

Non ras le cul de la patience, je suis patient mais là non, parce que cette année, je ne veux pas passer l’hiver seul. Mais vraiment pas. Je veux danser avec elle à côté de la cheminée et rigoler. Rire à gorge déployée avec sa nana c’est trop top, ça fait parti du Bonheur avec un grand B. 

Bordel de merde c’était bien parti, comment je fais pour en arriver là… Oh putain ayé la fontaine. J’vous laisse, je vais m’essuyer le museau avant de refaire couler tout ça…

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Pre co

A moins de deux semaines des sorties de la Wii et de la Playstation3, le bruit généré autour est assourdissant. Içi les queues des pré-co, là la panoplie du stand, tiens un kit de debug ! Ben on va le photographier alors… Les journalistes du jeu se font chier et comme les médias tradis, ils font de l’audience avec du rien.

Zelda. Ca y est il arrive et il ya une rétrospective sur gametrailers.com. Etant un sale vieux ayant tripoté chaque version depuis la une (enfin jusqu’à la N64). Quand je vois que le coup du marteau vient de Zelda II et que dans la dernière itération sur Gamecube, on a toujours droit à ce putain de marteau-qui-permet-d’aller-dans-des-zones-inconnues…  Que cette version Wii attire des jeunes comme ma petite soeur (le buzz Wii a l’air monstral dans les cours de récré) ok, que des vétérans du jeu comme les game journalist succombent si facilement… Un peu de recul que diable ! C’est vrai il ya la musique, toujours magique depuis le tout premier…

Le créateur de God of War (regardez la liste de prix, impressionnante) travaille sur un jeu d’arcade pour le online de Sony. Le type qui a tout ce qu’il faut pour faire des superproductions (game designer vedette chez Sony) se lance dans le petit jeu téléchargeable de 50Mo qui pour ce que j’en vois, est quand même super léger. J’en tire une petite conclusion:

  • faire des gros jeux, à la MGS4 nuit à la santé et rend imberbe. C’est le créateur de Megaman qui le dit alors hein ("That’s what’s wrong with Kojima. He’s focusing on Metal Gear Solid way too much. And pins everything on that, where he could be working on another interesting, new title.").

En parlant de petits jeux, la beta 2 du framework XNA est sortie, je la teste doucement… C’est trèèès bien foutu, maintenant faut voir le produit final et surtout, créer les équipes qui vont tout déchirer…

Le coup de gueule. Alors un on se fait niquer en Europe et c’est super lourd, deux comment se fait-il que Sega puisse offrir  quasiment toutes ses vieilleries worldwide pendant que Nintendo et Nec en soient incapables ? Comment rendre le marché online crédible avec ce genre de conneries putain ?? ‘me rend dingue…

Et sinon pour finir: le gros GAYZ0R, c’est peut-être oit.

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Analyste généreux

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

Il paraitrait que je le suis. Un bon profil pour se faire niquer (mais vous ne m’aurez pas, naaan)… En tout cas il est bien foutu ce petit questionnaire, varié, sans prise de tête grâce aux sli… Merde. Il dit vrai en plus.

 

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Ecoute

Ce week-end c’est

et puis ensuite

 

Let’s get funktified…

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o_Ô

Qu’est ce qui me prend d’écrire des trucs pareils… Ah si, ça me permet de penser à autre chose. Une sorte de "LALALALALA" en plus intéressant. Comme ça la douleur, elle… Merci.

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Idée reçu

Bon. Vu que les animaux préhistoriques partouzeurs de gauche se tirent dans les pattes et disent de la merde, Je vous file un lien qui va bien. (23 pages, français allez le lireuu)

C’est une interview de monsieur Hernando de Santo, économiste péruvien. Pitch:

Dans le droit fil de Milton Friedman ou Friedrich Hayek (notedemoi: anciennes stars du X reconverties, laissez tomber) l’économiste péruvien prend le contre-pied de la pensée tiersmondiste (ndm: et franco-gaucho-française) selon laquelle la persistance de la pauvreté mondiale serait une conséquence de la mondialisation libérale qui priverait les pays pauvres du capital nécessaire à leur décollage.

En gros ce qu’il dit c’est que:

  • cette pensée tiersmondiste est bidon en fait.
  • le libéralisme est la meilleure manière d’abolir les privilèges.
  • si les privilèges restent, ce n’est pas de la faute au libéralisme. 
  • si les privilèges restent, c’est parce qu’il n’y a pas de cadres légaux mondiaux.
  • les cadres légaux mondiaux sont biaisés par nos partisans conservateurs (qui se disent parfois, libéraux).

Conclusion: ce sont ces cadres, ces ensembles de règles qui régissent l’efficacité libérale qu’il va falloir faire fonctionner de manière à satisfaire el pueblooo, todo el pueblo. Moins il ya de flous, plus c’est fluide. Moins c’est fluide et plus il y a d’injustices. De mon petit point de vue de citoyen, je le vois dans deux cas:

Le cas Lik Sang dont je parle dans mon post précédent. Société taïwanaise spécialisée dans l’import obligé de fermer ses portes car rognant les marges de Sony Europe. Les lois protègent nos sociétés aux détriments de nos consommateurs. C’est ça le biais d’un manque de cadre mondial, d’une multitude de cadres nationaux et trans-nationaux. Cette société asiatique online, mondiale, doit se plier au jeu des régions. Et mourir.

Le cas des importations de poulets brésiliens en Europe. Nous on est super sympa avec eux, on les encourage à produire et à exporter. On leur octroit 0,4% de notre marché, au-delà on les taxe leur race. Le coeur sur la main, on veut vraiment les aider. Sérieux. Splendide démonstration d’un libéralisme unilatéral et encore une fois, biaisé. 

Extraits de l’interview:

"Elles sont authentiquement conservatrices [les élites pseudo-libérales péruviennes], au sens étymologique du terme. C’est le passé qu’elles désirent préserver. À savoir : les privilèges hérités d’une époque où l’acquisition des richesses ne devait rien aux vertus économiques des individus, mais était liée à l’attribution autoritaire d’avantages hiérarchiques de rang, de statut et de race."

On a encore *pas mal* ce problème là en France hein, entre nous soit dit. 

"Cette révolution [dans le tiers monde] consisterait non pas à confisquer la propriété des uns pour la redistribuer aux autres, mais seulement à accorder aux plus pauvres la reconnaissance formelle du droit sur ce qu’ils possèdent déjà de manière informelle, aussi modeste cela soit-il."

Révolution qui devrait s’appliquer également chez nous. D’où le fait que pas mal d’élus soient pour l’accès à la propriété des plus pauvres, parce que ça change la vie, et le reste. "Quoi ??? Mais que deviendrais l’avantage d’être riche ??" Privilèges on disait ? Héhé…

"Nous nous heurtons à un immense problème de langage et de sémantique [au Pérou]."

Içi aussi… Le discours économique des politiques fait frémir tellement il est fait de vide. Faut dire qu’avec notre niveau de langage et de sémantique -richesse du français oblige-, on a certainement les meilleurs endormeurs de la planète. 

Et puis il ya des choses qui perdurent toujours, comme cette rancoeur populaire envers ceux "qui gagnent plein de blé" comme ces trous du cul de footballeurs, genre c’est pas nor-mal. Alors qu’en fait, ça s’explique assez facilement si on se penche sur le sujet

2007… (on inspire) Pffffffff

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Slick Lik Rip

Liksang, un des rares fournisseurs de raretés pour joueurs passionnés ( bref une boutique online d’import jap’). Ce dernier vendait des PSP japonaises aux européens. Scandale chez Sony qui a donc mis la pression et fait fermer le site.  Les enculés de leurs cheveux tiens. J’ai fait qu’un petit achat chez eux mais j’aurais tout aussi bien pu commander un paquet de trucs.

Dans quelle autre industrie un leader chie sur ses consommateurs les plus dévoués ? J’imagine qu’il y en a d’autres mais même Nintendo, le gros psychopathe du tranchage du monde en régions (je suis trop dégoûté pour la Wii) ne poursuit pas (ou plus) les sites d’import… 

Killer, behiiind youuuu !!
StarMoon Power…

Love it. 

If game reviewers don’t go above base fanboyism and ask for more creativity, who will?

Pag is right

Comment faire tenir le jeu dans une vie de détente multi-taskée (j’allume la télé je coupe le son en matant le match, j’allume ma HiFi que j’écoute tout en jetant un oeil sur le net pendant que je discute sur mon im préféré; tiens un appel sur mon portable!). Vous voyez le genre. Jane se pose la question.

Pour moi c’est la guerre. C’est WoW VS Prison Break par exemple. Bien sur on peut faire les deux en même temps. Mais plus on multitaske et moins le contenu a de prises sur nous. Les gros WoWeurs ne sont plus que dans un putain de chat IRC en 3D, plus vraiment dans un royaume, un univers une ambiance. Quand je joue à Animal Crossing en multitask (chat msn + surf du net + musique) sa musique ne m’atteint plus et à la limite je me fous de la tronche du jeu. Le contenu passe à la trappe, mon cerveau se focalise sur la colonne vertébrale du jeu: l’action, l’input. Le gameplay.

On a une certaine dose de temps de détente. On a des moyens de se détendre des plus simples et les moins consommateurs de ressources (télé, communications) aux plus complexes et exigeants (jeux, lecture). Ces derniers nous oblige à monopoliser notre cerveau et par moment, quand je vois qu’on me dit que j’écris trop et qu’en gros les gens ont du mal à lire plus d’une demi page A4 sur le web, je pense qu’on devrait se méfier de la perte du côté monotâche: c’est de lui que né la profondeur et l’envie