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We Got Each Other

La nana que je disais que je la voulais (hum) un peu plus bas… Ben le mec avec qui elle vit depuis 5 ans, dans une petite maison qu’elle a achetée ya moins d’un an, la trompe depuis un petit bout de temps. Le lendemain elle m’a écrit ça sur IM, elle venait de l’apprendre. Sbam.
J’avoue, ça m’étonne pas du lascard… Je le connais pas mais vu ce qu’elle m’en disait…Je crois que la trahison est psychologiquement ce qu’il ya de pire comme blessure. La perte d’un fondement, c’est pas rien. Quand elle a m’a annonçé la nouvelle j’étais dans ce enchevêtrement de sentiments contradictoires, peiné parce que je venais de la voir (on se voit 3-4 fois par an) et qu’elle allait bien et en même temps content que ce soit peut-être le début de la fin d’une relation qui semblait de toute façon chaotique… Mais 5 ans. Damn.
Ca a dû être le week-end le plus long de sa vie.
 
Ce matin j’ai parlé de chômage sur le blog de monsieurLâm. Un peu une façon de dire que bordel, ça va pas durer. Hell no. Ca m’a fait drôle parce que c’est vraiment devenu un truc que j’ai enfoui, mais chaque fin de mois et son pointage me rappellent à lui. Le matage d’annonces chaque matin et les endormissements pénibles aussi…
Allaiiii je mets tout laaaa !!
 
Btw comme dirait Gore, j’ai reçu ça par mail et j’ai trouvé ça très bon.
 

 
"Kabo0m" (oooh faut rigoler… Bon ok c’est pas super drôle surtout le matin. Mais avec le truc funky que j’avais dans les oreilles quand j’ai reçu ce gif par mail, ça m’a bien fait poiler :D)
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I Wanna Thank You

Oulaaa comme c’est calme… Je poste peu en ce moment. Oui vous avez remarquez ? Pourtant j’ai essayé de loozer en douce…
 
Beaucoup de questions ces derniers temps. Rapport à ma négritude&adoption. Je crois que je manque de noir dans ma vie. Enfin disons que j’aimerais voir plus souvent dans mon entourage et dans mon cœur, des gens qui ressemble à ce que je vois dans la glace le matin. C’est pas un malaise qui m’affaibli, c’est plutôt des questions à jamais sans réponses: "qu’est ce que je serais devenu en vivant au milieu de noirs avec une famille noire ? Quel aurait été alors mon cheminement intellectuel et mon tempérament ?.. Serais je plus fort, plus sûr de moi ?.." Je lis un bouquin très émouvant sur l’histoire de la Soul et j’ai maté récemment le DVD de Scorcese sur le blues. Ca me file la chaire de poule cette unité noire, le fait de jouer de la musique tous ensemble des grand parents aux petits enfants… Ca m’électrise, je veux en être, toute mon âme veut de ça… Ilusions ? Possible…
 
Je lie ces questions à celles d’aujourd’hui qui sont en rapport avec mon activité sonore: Appréhension et manque de confiance pour me lâcher, plus, plus plus… Be real, c’est pas qu’une phrase de MC. J’ai besoin de support et du coup j’imagine le support idéal; une famille noire nombreuse. Bien sur qu’on passe par dessus ces histoires d’apparence et de couleurs. Mais uniquement parce qu’on intellectualise, viscéralement on a tendance à rejoindre ceux qui nous ressemblent… Je prends ça comme un reste de l’époque animal, je m’en fais pas. Enfin j’intellectualise :) Hey, on est pas le produit de milliers d’années d’évolution pour se prendre le chou sur un truc aussi con qu’une variation de couleur…
 
N’empêche qu’au final, je rêverais presque des gens qui me ressembleraient. Au final toute ma famille, blonde aux yeux bleus me tend les bras en me disant de venir les voir et… J’y arrive pas. Ya une phrase qui m’a choqué dans Big Fish (ouais je continue de rattraper mon retard…lol) c’est quand le fils parlant de son père dit: "nous sommes des étrangers qui nous connaissons très très bien". Ben c’est un truc que je ressens assez fortement avec les trois quart de la famille (j’ai même du mal à dire ma). D’autant plus que j’ai quitté le cocon familial il ya trois ans… Et pourtant rien à redire, une famille en or. Une famille qui se serre les coudes comme on en fait plus, à ce que je peux constater autour de moi. Sauf que je me sens pas du tout proche d’eux, c’est du ressenti pur. Ca me culpabilise à mort… Faut que ça décante. Quand ma situation perso sera plus stable, je règlerais ces ptits problèmes existanciels. J’ai déjà écrit ça, j’en suis sur…:p
 
 
Mais alors toi, oui toi que j’ai vu ce midi, qui est venue manger du poulet basquaise chez oim. Ben je te veux lol. Un joli petit bout de femme, à qui j’ouvrirais bien le robinet de mon cœur… C’est vrai que t’as un peu la voix d’un garçon de 5 ans (j’avais jamais vraiment remarqué, j’en ris encore) mais t’es soooo cute. Et j’aime bien quand tu me regardes comme si t’allais me dévorer… Ou alors jme gourre, ce qui se tient étonnament bien aussi…En tout cas une entente comme on a, ça fait du bien. Merci d’être passé miss.
 
 
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Ting’ !…(E)

Il était là. "Qui ça, le jus de tomate ?.." mm…
Non ! Le livreur UPS, avec ses deux cartons. Une petite signature numérique et je déballe ma splendide guitare, une Epiphone Sheraton II Left Handed….\o/ Comme Gore, je me fais plaisir non mais. Oui le deuxième carton, c’est le fly case.
Ca fait donc une petite semaine que j’ai une 6 cordes entre les pattes. Pour la première fois de ma vie j’ai une guitare sans galère, moi le noir gaucher (han la pression !)… Alors c’est marrant parce qu’étant bassiste les 4 premières cordes je les connais par cœur mais les B et E du bas, trop pas :D C’est fin des cordes de guitare ça me fait rire parce que je repense à tout mes copains qui apprenaient Nirvana et cie au collège/lycée, avec leurs doigts qui saignaient sur les barrés… Moi je sens que dalle avec mes paluches de bûcheron ! Par contre les doigts qui courrent sur les cordes ça me manque et d’ailleurs j’arrive pas à jouer avec un médiator même si ça sonne terriblement mieux qu’aux doigts; pour le moment pouce et aller/retour façon Keziah. J’aime sentir et faire vibrer l’instrument des deux mains.
Voilà j’apprends les accords et les intervalles (toujours eux) pour le moment. J’ai appris My favorite things, c’est beau comme tout (ah les maj7 !) même si j’ai encore du mal à bien faire sonner mes cordes (olot’ en une semaine il croit pouvoir faire du Malmsteen). J’ai choppé un truc de Feist aussi. Non je n’apprendrais pas de niaiseries pop-rock; jazz/blues/funk, period. Ca fait déjà pas mal. Trop hâte de bien jouer des trucs de Wes Montgomery. Et puis Nile of course.
Comme je suis un peu con, j’ai l’impression de faire des infidélités à ma basse. Du coup pour une heure de guitare je fais deux à trois heures de basse, genre je me rachète lol Plus le clavier… J’ai des courbatures de doigts now et je me couche avec la tête embuée de notes, de slides, de F#maj7b5 et de mélodies. I dig it.
 
Bon je vous laisse, j’ai du blues à jouer là. I wake up this morning…
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Mon Koh Lanta à moa

J’en reviens :) J’aime pas du tout cette émission et je m’en tape assez le cul par terre puisque la télé n’existe plus pour moi (eh, on peut pas tout faire hein). Mais j’ai passé 3 jours en canoë/campements sur iles désertes avec un couple homo femme, un couple hétéro et oim. Moyenne d’âge 34 ans, et des niveaux d’éducation et d’habitudes qui couvre assez bien tout le spectre sociologique. Bon on l’avait déjà fait alors pas de mauvaise surprise mais même en se connaissant bien le ton monte par moment…;)
 
Objectif: se dépayser, se vider la tête de l’oppression urbaine. Munitions: un fleuve, des iles sauvages avec des castors comme seuls habitants, du pinard de la bouffe et du soleil. Enemis: la pluie, le vent, les nuages, le froid.
 
On embarque samedi midi. Temps au beau fixe, on se laisse filer sur l’eau. Apéro dans les bateaux, on doit rejoindre un campement (comprendre une grande bache pour se protéger de la pluie et une table pour manger à 12) prévu par les orgas car il est prévu de la pluie pour le lendemain. On arrive en vue de l’ile et surgit de derrière la dune une nana enroulée dans une serviette, un peu en panique. "Ya un campement dans le coin ?" "Oui juste derrière là !" nous dit elle pendant que nous accostons sur la rive. Son mec sors peu après: il bande à travers son short…lol  Désolé madame m’sieur… Ils plient bagage et remontent dans leur canoë aussi sec. Pendant ce temps nous faisons du bruit et débarquons le matos, quelque peu éméché par le rosé au soleil et l’adrénaline de "l’aventure". Ah ces parisiens…;)
 
Après midi bonheur: Barbecue et viande rouge supra bonne, légumes du soleil, ripaille & festoyance. Sieste au soleil, baignade. Tout le monde s’assure que le campement est au mieux (bois, vaisselle, rangement). On veille devant le feu, sans mot dire pendant une bonne heure, profitant de ce silence somptueux et inestimable… Je m’endors avec une banane sur la tronche.
 
Le lendemain est une autre paire de manche. La fatigue et la gueule de bois n’aidant pas. Le lendemain matin il pleut. Un peu d’abord ce qui en stress deux qui viennent de déplaçer à temps leur tente sous la grande bâche. Moi j’avais planté dessous et je dormais encore :D Donc je me réveille aux rouspètations du couple (monsieur n’a fait assez vite). Petit dej tranquille mais frisquet. Il est tôt, moins de 9 heures. Le vent s’est levé, les nuages sont chargés et gros. Deux heures plus tard et je ne sais combien de café Maxwell, la pluie tombe, mais bien. On remplis un jerican de 3L d’eau de pluie sans forçer. Sous cet affreux coup du destin les esprits ne vont plus dans la même direction; il ya ceux qui pensent qu’il vaut mieux rester à midi et partir l’aprem’ et il ya ceux qui pensent qu’il faut partir ‘de suite. La flemme l’emporte et le désaccord "envenime" les pensées. On rallume le feu qui faibli un peu après l’averse et on discute en préparant la bouffe. Le soleil revient et on a le temps de prendre l’apéro au soleil en faisant une partie de badminton dans le sable fin, avant de manger et de plier bagage histoire de ramer un peu et de faire fondre toute cette bouffe ingurgitée.
 
Il y a du vent. Ca chasse les nuages mais sur un canoë quand il est de face le salaud, on en chie un peu. Je dis un peu parce qu’on a tout à fait réussi alors qu’on est vraiment pas des sportifs (quoique tous toutes anciens, ça doit jouer). La grande question sur l’eau c’est comment trouver les meilleurs courants porteurs et se protéger du souffle en choississant la bonne berge. Tout en évitant les bancs de sable et les troncs d’arbre. Les discussions vont bon train:
 
-"hoo Ca me semble bien gris devant là ça sent le banc de sable non ?"
 
-"euh… Ouais à mon avis faut prendre l’autre rive et chopper le chenal de droite !"
 
(grand cri à l’autre canoë)
 
-"faut prendre à droite !!"
 
-"ben nous on pensais prendre à gauche, il ya l’air d’avoir du courant !!.. mais pourquoi pas à droite !"
 
(à l’équipier)
 
-"on fait quoi alors ?"
 
-"chai pas mais faut se décider là"
 
-"on suit le kayak, ça à l’air de passer pour lui"
 
-"ben non regarde il sors et il le traine dans 10 cm d’eau…"
 
-"bon tout à droite allez go go go !!"
 
Et ainsi de suite dans le désordre ou avec des variantes tout le long de la rivière… Quand c’est calme  après on se rejoint et on se marre un coup. On se repose en ramant paisiblement et en écoutant le son de la nature… Mes oreilles jouissent de ce bruit mélodieux (no music durant le séjour, fait exprès) J’ai toujours peur de me prendre une flèche quand on longe des petits cabanons à la con… Deliverance staïle. On a plus de pinard et ça nous démoralise pour une autre soirée, plus froide vu le temps mitigé de la journée. On s’arrête dans un bled et le plus sportif de nous tous se dévoue pour taper 4km à pieds et ramener du picrate et de la binouze. On repars en s’ouvrant une mousse et ça nous remet la pêche. On ramera bien durant cette fin d’aprem.
 
La fatigue arrive. On n’arrive pas à se mettre d’accord sur quel côté on accoste. Tout le monde donne son avis en finissant par "on fait comme vous voulez" ce qui plonge l’équipée dans une profonde léthargie incapable de trancher. Je décide d’aller vers une visite sur l’ile puis voir. L’ile est top, avec du sable fin du bois sec et des peupliers pour protéger du vent. Go go go. Pas de auvent mais une super vue sur l’eau avec petite plage et tout et tout. Pur bonheur. On s’embrouille un peu sur la bouffe (aaah la cuisson des trucs sur le feu de bois est un grand sujet de discorde) et la fatigue fait qu’on en a un peu marre de chercher les choses (qui a pris ça ? je trouve pas le chiffon tu l’aurais pas vu ?) mais on se fait nos chipos à la purée et courgettes grillées avec plaisir, une fois tout installé. Le pain et le Nutel’ en dessert (750g en trois jours bravo mesdames…huhu), miam. Ma tente est plantée un peu en retrait du campement et je suis à l’abris de tout bruit. J’entends chaque brindille autour de moi. Il fait noir et je me fais flipper. J’entends des bruits inquiétants comme des glissements de troncs sur le sable, me faisant imaginer un taré plantant un pieu à travers la toile et le sac de couchage ou bien des pas très rapides et légers sur le sable; c’est des dahuts c’est sur me disais-je. Non juste des castors qui bossent de nuit (double salaire) et des oiseaux coureurs nocturnes rien de plus… Au matin je caille ma race si je puis dire. A poil dans un sac de couchage ça suffit pas des fois.
 
Last day. On doit absolument rejoindre un point donné pour que le camion puisse nous récupérer. L’objectif est atteint non sans difficulté. Plus le temps passe et plus les esprits s’échauffent c’est incroyable de le vivre. Bien sur ça reste soft car ya aucun enjeu et qu’on est là pour se faire plaisir. Je prends le kayak et me trempe jusqu’aux os mais l’eau est bonne et c’est agréable de naviguer tout seul sans bagage et prise de tête :)). Toujours ce vent qu’on tente d’éviter. Les canoës me rejoignent et on se colle tout les trois avec moi au milieu qui tient les deux embarcations… Je me suis fait les bras la vache :x On finis les reuhbiais et on accoste après éclatage du radeau. Je suis trempé et rinçé. Pâtes à la tomate et fromage en guise de dernier repas, dernier café et le camion arrive. On plie bagage et nous disons à la prochaine :)
 
Je me suis juste lavé les dents et le troisième jour se sent; l’air inspiré à l’intérieur de la voiture avec nous dedans ressemble à celui d’un poney club après une reprise. C’est bon de retourner à ce stade primaire. Petite régression salvatrice dans notre monde urbain anti microbien.
 
La barbe, les ongles de pieds verts, les pieds blancs et des couleurs sur le visage je remonte ma rue pour une douche pas déméritée. Reposé ? Non. Mais objectif atteint, j’ai fait un bon reboot. Ca fait du bien. L’année prochaine on remet ça et on améliore le truc :)
 
Vivre en société est un sport et il faut s’entrainer… Ludiquement ;)
 
 
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Wherever

C’est duuuur ! Ce silence de mort, tout ces magasins fermés, ces poubelles que je suis le seul à remplir depuis deux semaines dans mon immeuble, ces extraits de JT qui ne te parlent que de vacances, l’arrosage du jardin des parents en banlieue, plus morte que morte… Ca a un côté étrangement sympa mais ça casse toute vélléité de faire quoi que ce soit. Une sorte de "je vois pas pourquoi je me ferais chier à suer alors que les gens flottent au son du clapotis des vagues". Du coup j’avance à deux à l’heure, la motivation se fait la malle. Reste là ! J’ai besoin de toi…
 
En 5 étés je suis parti 15 jours et des bananes de Paris. Ca fait peu. Je crois que ce que je redoute le plus maintenant que j’ai l’habitude, c’est les récits de vacances de la rentrée. Là je sais déjà qu’une bonne dizaine de compte rendu vont me tomber sur le dos; ca me fera rêver, rire, ça me confortera dans le "finalement spa mal de ne pas bouger" quand j’écouterais les galères rencontrées… Ca et le flux de la rentrée avec tout ces gens qui arrivent d’un coup en deux semaines c’est blindé de bruits partout.. Assez horrible.
Ba je dis ça mais normalement ya week-end canoë là.
J’ai les intestins en compote aussi, dans le genre bonne ambiance… Pourtant je mange correctement, encore mieux même puisque le kegrai du coin est parti en vacances. Et puis je perds de la peau c’est hallucinant. Surproduction de peau qui finit par mourir et se coller sur mes claviers, ma basse… Avant il me fallait une bonne année pour avoir une basse dégueulasse et maintenant je fais ça en 2 fois 2h…lol Spa normal merde. Hyper sudation des pieds aussi… Heureusement qu’ils sentent pas…
Bref ya un truc de déréglé là; et ça tient fortement au taux de stress, qui s’est pas arrangé ces derniers temps (engueulade avec le padre et fin définitive de ma liaison).
 
Alors j’ai repris un pti forfait chez mon Video Future préféré (oh ça va hein) et j’ai récemment vu:

Lost in Translation. Un film totalement passable de mon point de vue… Super les mégas gros clichés. Ya que la scène du whisky qui m’a amusé, où on sent vraiment le décalage et la lourdeur d’un monde qui ne se comprend pas… Le reste… Bill me saoule faut dire depuis the Groundhog Day. L’histoire pue des genoux grave j’attendais un pur retournement sur la fin ou… Que dalle. Du cliché à mort. Oui l’héroine me donne envie de m’en occuper night&day mais ça suffit pas hein. Je m’attendais vraiment à mieux de la part de Sofia Coppola. Peut-être trop.
 
 
 
 
 

Les chroniques de Riddick. Ah ouais chuis en retard c’est clair… Bien sympa. Là, la fin est vraiment cool même si ça fait un peu vieille série de M6 par moment pour raisons de budget (mais c’est qui leur a permis de se faire un max de blé aussi), ça cartonne bien quand même… C’est monté de telle façon que t’as pas le temps de t’ennuyer alors que l’histoire et le concept sont basique. Tout l’inverse de Lost In Translation, toute proportion gardée ;p Vin Diesel, je sais pas je crois que c’est dans ses dialogues et sa five foot nine deep voice qui en font un personnage vraiment attachant. Il le sait parfaitement et s’en sert avec finesse. Un bon film de SF.
 
 
 
 

The Butterfly Effect. Fan de la chaos theory il fallait que je vois ce film. J’ai adoré. Ca aurait pu être un film raté voir pénible mais il n’en ai rien. J’étais un peu dans le même état qu’en voyant Donnie Darko, qu’il faut que je rematte d’ailleurs. J’adore être devant un film et me dire "putain mais c’est quoi ce délire ??"… Là durant toute la première demi heure j’étais comme ça :D Après tu comprends un peu mieux où ça veut en venir mais c’est très bien foutu… Mon lecteur DVD du big pc (çui avec le bon gros 5.1 aux fesses) ne faisant plus que lecteur CD, n’ayant pas de télé à brancher sur mon lecteur de salon je l’ai maté au casque sur mon laptop et j’ai eu de bonnes grosses flippes…
 
 
 
 
 
Eternal Sunshine Of The Spotless Mind. Que dire… Ben c’est surpuissant mais je suis un peu fanboy de ces français déjantés et absolument géniaux que sont Michel Gondry ou Jean Pierre Jeunet… Jim Carrey est bien mais c’est pas son meilleur rôle (moi je le préfère dans Ace Ventura en Afrique… J’ai dis une connerie ? ;p). Mais je pense que beaucoup auraient fait l’affaire. L’histoire est cocasse quoique plus soft, plus intime que celle de Human Nature gravement délirante. J’ai hurlé de rire au passage "humiliation, humiliation", j’ai plissé les yeux dans le tourbillon de rêves et de souvenirs de Joel.
Mais ce qui me touche le plus dans ce film c’est la ressemblance avec mes propres questions: Elle, celle qui est toujours dans mon cœur je l’aime pour les même raisons que le héros du film; flamboyante, qui mettais du sel dans ma vie même si sa façon de voir les choses me paraissait childish… Ya des phrases du héros qui me touchent: "parler tout le temps n’est pas forcément communiquer…" C’est clair que j’aurais pu lui sortir celle là, peut-être même que je l’ai fait… Je me souviens d’Elle en train de pouffer de rire alors qu’on était en train de s’endormir et ça me faisait sourire dans le noir, car je savais qu’elle allais encore me parler même si j’avais envie de silence… Le sel quoi ! Bref tout ça me pousse à me poser la question: finalement tout ça c’est tellement banal, est ce que ça vaut le coup de tenter ?.. Ouais parce que j’ai jamais vraiment abandonner l’idée d’être avec Elle Forevaah, même si j’ai tenté aussi de tout effacer. J’ai quasi réussi un moment. Mais ya des choses c’est pas vraiment possible, surtout qu’elle fait parti de mon épanouissement musical comme personne (j’y reviendrais plus longuement). Je conclue en mettant l’aiguille au milieu: on restera en contact, je resterais en contact avec elle le plus longtemps possible…
 
Ce soir; vélo et un pti Emir Kusturica… Tiens, une basse…
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You’re Just About To Lose Your Clown

No comment. Les décalages de notre monde…

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Jmjmpo

J’aime pas:
 
  • L’odeur forte de la peinture au soleil
  • La poussière qu’on chasse indéfiniment de son salon, sans succès
  • Remplir un verre avec de jus de fruit et en foutre partout parce que ça saute hors dudit verre (splotch)
  • Me taper une discussion perrave sur les vertues du rasage tout les deux jours avec un chauffeur de taxi
  • L’humour de geek trentenaire bedonnant; purée auscouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuurs
  • Stresser sur ma machine en imaginant qu’elle va lâcher en pleine créa
  • Quand on me masturbe la bite de façon brutale (hey douuucement merde…)
  • La désertion du concept de "service au client" au mois d’Aout à Paris
  • Me faire piquer mon vélo sur mon palier pendant que je suis chez moi
 
J’aime:
 
  • Me faire surprendre par ce que je viens d’enregistrer et avoir le smile, consécutivement
  • Entendre le bruit du disque dur qui gratte pour sortir le rendu final, le Master
  • Caresser son corps et le réchauffer tendrement au petit matin alors que je suis à moitié endormi
  • Commander des trucs sur le net et les recevoir dans ma boite aux lettres, flawlessly
  • Avoir les poils qui se dressent et les larmes qui montent quand j’écoute Smokey Robinson
  • Chanter (faux) à tue tête dans les aigus alors que j’ai une voix grave
  • Me sentir hyper concerné et engagé vis à vis d’un sujet, qu’on sente cela et qu’on me le fasse remarquer
  • Voir que la situation s’améliore vis à vis de gens que j’aime bien
  • Voir que mes amies déchirent tout once again en m’offrant un vélo avec un cadenas
 
 
Ca fait du bien…^^
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U gonna rock this motha down

Disclaimer: j’ai deux pintes dans le sang et un bédo qui se consume.
 
Bien occupé ces derniers jours, j’ai fait une reprise de Prince. Wahou carrément ça fait flipper quand même. Housequake, 4mn et quasiment 30 pistes plus tard je suis pas mécontent et les gens apprécient, c’est cool. Moi où je suis le plus fier, c’est que ma ligne de basse est une deuxième prise avec deux trois retouches, c’est tout. Ca veut dire que je commence à être vraiment bien carré quand j’enregistre, je commence à bien gérer la pression de l’enregistrement. Hop, changeage de casquette je passe d’ingé son/directeur artistique à musicien/slappeur speedfunk en l’espace de la chanson… C’est psychologiquement assez éreintant…Mais ça créé la différence entre un truc qui sonne plat et un truc "vivant". Ca fait un bon mois que j’ai plongé dans le son, pour de bon. Fini les hésitations et les pauses, je m’y colle et je laisse m’envahir ce sentiment de création. Too much ain’t enough… Ah oui j’ai ajouté le BeatN4 qui trainait.
 
Comme ça ça me permet d’éviter de me torturer l’esprit. A propos des fiiiiilles évidemment. Je faisais un pti bilan récemment et en deux trois mois ça a été lourd en émotions, j’ai pris chéro. J’ai mon compte je crois. Enfin jdis ça… Encore une phrase àlacon en fait. Mais je sais pas du tout vers quoi me tourner pour essayer de gérer, j’ai plus de repères… Faut se les faire au bout d’un moment dans la vie ? Ouais mais faut prévenir les gars c’est pas du boulot ça…
 
La dernière fois qu’on s’est vu c’était vendredi soir. Lundi soir elle voulait qu’on se voit. Hier elle m’envoit un mail me précisant qu’elle aime être avec moi et tutti quanti et là on est jeudi et pfff…  On était d’accord qu’on se prenait pas la tête et qu’on se faisait du bien quand on voulait. Sauf que c’est vrai que ça s’est rapidement transformé en calin/baise/calin/salut. Et ça le fait pas, tu peux pas avoir une relation saine de ce type, c’est pas possible. Ya forcément un moment où un des deux veut plusse, et dans mon cas c’est elle. Couper totalement les ponts ?.. Rha c’est dur quand même… Quoique jouable, ça fait pas vraiment longtemps qu’on est plus ou moins ensemble.  Attendre une proie potentielle Etre une proie potentielle avant de lui dire stop ? Ze loose attitude…:/ Alors…
 
Music is my sanctuary, music is my mind…
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3+3

Samedi matin, 7:30 un 30 Juillet c’est le moment de bloguer. Ma danseuse vient de partir, elle part en vacances une petite semaine. Soirée couchage et seske oral (comment j’ai fait court là mais c’est vraiment tout ce qu’il s’est passé). Tout le monde part là, le mois d’Aout c’est vraiment moins marrant que Juillet. En même temps c’est sympa tout ces gens en moins mais on le voit que quand ils reviennent à la rentrée.
Que faire… C’est le week end, évitons de faire du son. Non c’est vrai. Ca va être dur parce que c’est tout ce que j’ai à faire aujourd’hui… Le taf, sma laïfe…
 
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Coinçage

Bon j’ai l’oreille gauche bien bouchée par du cérumen à foison. J’ai une cage à mielle surproductive là, ça me saoule. J’ai l’impression qu’on m’a enfilé deux mètres de coton tiges dans le conduit. Ca c’est les boules quiès durant les quasi 6h à l’Olympia de lundi soir… J’en suis encore terrassé… PFAS en concert ça rigole pas, je posterais un résumé dans la catégorie qui va bien.
 
Et puis les histoires de cœur, tout le monde qui te parle que de vacances et tout ça… Dur de bosser… Un weekend canoë se profile avec les FillesFormidables pour le 15 Aout, ça fera du bien du silence au bord de l’eau… Ce soir en revenant de chez Gore ;) je testerais enfin Fahrenheit, et j’écouterais attentivement -oui avec mon oreille à la masse so what- le sound design…