J’ai fini mon beatN3, faut que juste que je fasse un petit mastering. J’ai commençé mon beatN4 et j’ai deux trois autres trucs sur le feu. Toujours pas fini ma sounddesign démo, ptin il manque des éléments, je sais pas quoi, mais je le sais.
J’ai effaçé 70 pages de 700 trackbacks de mon blog et installé le Communityserver, une cms opensource en .NET. C’est ultra puissant, je viens de me ballader dans l’admin…oO Par contre j’ai une merde pour transférer les données de ce blog… J’aimerai profiter du moteur de recherche, c’est pratique. Et puis ya une skin qui poutre. L’inconvénient, c’est que je dois afficher un gif tout laid en bas de la page :/. Et puis sûrement que je pourrait pas utiliser Infopath now.. Donc au final je sais pas trop ce que je vais faire…Enfin bon c’est installé et ça peut servir.
Sinon hier après midi, c’était la fête du slip chez oim :) Certains diront que j’ai fait ma grosse cochonne en 6 lettres (salope ?..), je vous laisse juger.
Miss capoeira se pointe au milieu de l’aprem. Un mois qu’on s’est pas vu. Elle m’offre un petit pot de fleurs blanches. Café-tarpé, on discute, on se détend. J’envoie ma playlist (Feist/Alpha/Morcheeb’/Monday Michiru, 5h 57mn). Après les "mondanités de base", on dit plus rien. Je somnole sur mon canap’, elle dans mon pouf. J’ouvre les yeux après un petit moment de rêve, on se regarde. je lui fais signe de venir me rejoindre; je lui caresse la tête longuement, posée sur mes genoux. Je me penche et lui embrasse chaudement le ventre. Puis je lui dégraffe son futal et le fait glisser jusque ses genoux. Je lui caresse le slip avec mes doigts tout en la couvrant de bisous là où je peux. Je lui re-caresse le haut de la nuque. On change de position, et je plonge ma langue dans son entrejambe pour n’en sortir que quand elle le veut. Elle gémit tout doucement et son talon gauche posé sur mes fesses se tord et danse. Je souris. Elle m’arrête après une montée plus sonore que les autres (ce qui ne valide pas l’orgasme, hein) et je la rejoins allongé sur elle. Tout habillé. On évite de s’embrasser, petite poussée d’herpès de sa part oblige. C’est là que je sors un peu du trip et que je me dis, c’est marrant quand même qu’elle me retire pas au moins mon t shirt. On discutaille. Je m’allonge sur le ventre et c’est l’heure du massage. Retirage de t shirt… Et elle masse excellemment bien. Tout les nœuds de mon dos sont exterminés un à un et je pense à tout ces appuis sur mon manche de basse, qui me font mal dans le dos (sisi jvous jure).J’ai envie d’hurler aussi tellement c’est bon…
Je lui rends la pareille. Pas aussi doué, j’ai néanmoins de l’endurance et la masse autant qu’elle, c’est à dire plus d’une heure. Elle sombre à moitié, c’est à priori bon signe :p.
20h45. Je lui fait des petites spaghettis bolo de base :/; mais elle est heureuse de voir le soleil se coucher. Quand on discute c’est incroyable comme j’ai du mal à l’écouter. Je me "fous de ce qu’elle me dit". Moi qui écoute attentivement les gens et en particulier ceux que j’apprécie, elle, bien qu’on se tripote et qu’on partage des moments d’intimité, je l’écoute d’une oreille et dans l’autre ya un *poum tzim poum tzim sboawww* de Bootsy. J’arrive pas à l’expliquer, et j’ai l’impression de lui manquer de respect (en gros je lui demande de tout répéter…), alors que dans les faits, je suis plutôt aux petits soins. C’est supra zarb. Ca me ressemble pas…
Yahourt/tisane tarpe diem. La nuit tombe. Une certaine gêne envahit la pièce… Du genre "qu’est ce que je vais bien pouvoir lui raconter…" Je suis en face d’elle à avaler 15 litres d’air en buvant mon truc au caramel, sur mon tabouret et elle est enfonçée dans le siège poire et regarde le ciel.
Je m’assoie à ses côtés. Elle plonge sa tête dans mon cou et je fais de même. Je suis incapable de résister à la tendresse. Absolument incapable. Et c’est là que elle, est possédée :D; chauffage, main balladeuse, râle et envie de me manger tout cru.
Je bas en retraite sur le canap. Elle me rejoint en virant le laptop. J’arrive pas à lui dire quoi que ce soit pour lui faire comprendre que j’ai pas envie, là. Que dans ma tête, ya un mélange de transposition d’accord de G, le rire et le souvenir de Elle, Sensi qui me regarde avec un œil désapprobateur&moqueur, la voix d’Alex’andra qui me disait la veille "ah, demain tu profites et tu tires ton coup"… jt’en foutrais moi, j’ai l’air d’un profiteur ? me disais-je en prenant les mains de la belle en face de moi. Je lui masse les mains. Oui ça me permet de les gérer aussi, bande d’esprits calculateurs. Elle se masse pas les mains (elle s’auto masse les pieds), c’est dommage ça déchire grave et là pour le coup l’expérience est de mon côté; je la liquifie en 2 mn. L’heure tourne.
Soudain alors qu’elle est collée à moi sur le canap elle me demande: "tu m’invites à rester dormir ?.." Et là, avec une insuffisance totale de bonne tenue et de Classe je lui sors: "euuuuh…non !" avec un sourire en coin très mal venu. Et en même temps j’avais super envie de rire, tellement genre "on la refait ! t’étais pas dedans harold…". On aurait dit un skèche. Elle me fait ok en souriant. Crispée quand même. Vite on se ressert de la tisane, comme s’il fallait combler le trou sonore.
Ca me fout les boules, je me sens mal. Elle a pas envie de partir, elle est belle et rien que ses seins convaincraient 99.99% des mecs de la faire rester. On se lâche pas jusqu’à la porte. Je lui ouvre, elle me dit merci, je lui dis "c’est moi", me redit merci (pour la lumière) et je lui dis rentre bien. Elle est à deux stations de trom de chez oim.
J’ai vaguement fait un peu de son. Maté les infos&rss. C’était sympa cet aprem’ calin. Mais je suis en plein dedans maintenant c’est clair; les enfants adoptés qui font nimp’ dans leur vie affective. Ca y est, j’en suis un c’est plié. Tu sais, t’as un espèce de truc qui tient la route dans ta tête, et quand tu l’appliques dans la vraie vie, tu fais presque l’inverse. Malgré toi. Et t’en tires presque plaisir. Jeez. Ba.