Categories
Me Myself&I

"Mon épouse est absente, vous voulez voir mes fesses ?..

 
Et ensuite je vous roulerais une pelle…"
 
Bonne année 2006 ! Que tout… Vous connaissez le topo ;)
Categories
Me Myself&I

Greetings

Ben et les potes alors tu les as oubliés ? Non, non il ne faut pas…
 
Cette année encore une fois, les relations internet se sont concrétisés IRL. En dehors de mes chères A&L que je n’ai pas lâché de l’année -et que j’avais rencontré sur le net également-, j’ai fait la connaissance de Gore (encore merci pour les tofs!) cet été à l’ancienne, squatt/kegrai, puis de Lam lors d’une conférence. Il me reste Keffer et Warofart, peut-être dans un détour de 2006 ? Et d’autres que je ne peux pas linker pour l’instant, blogless qu’ils sont….*HUM*
 
Egalement rencontrés pour ceux que je ne connaissais pas, les gens du Funk, des passionné(e)es, des puits de science de la musique afroaméricaine… J’ai failli rencontrer Souris de passage à Paris, maybe next time !
 
Sans vous l’année eût été dure… C’est avec des petits riens qu’on se fait du bien :) (aussi)
Categories
Me Myself&I

HAFAGNAGNE HIFAGNAGNA HAFOUGNON

Plus qu’un enfant de la télé, je suis vraiment un enfant de la bd. Ca parait pas comme ça. En arrivant dans ma nouvelle famille je suis tombé sur une mine d’or comme j’en ai vu peu jusqu’à présent: en dehors de la collec complète -même les raretés- des classiques Tintin, Lucky Luke (que j’adorais, le lonesome cowboy tout moi ça), Astérix&Obélix, il y avait les reliures Spirou Magazine. Et pas deux trois. Tout Spirou de 72 à 94, 23 ans de BD européenne concentrés en dizaines de pavés de centaines de pages de centaines de bds différentes, de milliers d’histoires… Je pouvais presque me faire une cabane avec et lire dedans (comme Gaston…) Ah ça m’a occupé. Lire en écoutant de la musique, je faisais que ça.
 
Je repensais à Bidouille et Violette tout à l’heure. Ne me demandez pas pourquoi. Le square existe vraiment, ça m’avait scié en voyant la photo qui avait inspirée le lieu dessiné… J’ai un souvenir fort aussi d’une histoire traitant de chasseurs de trous noirs (rien que ça c’est top !!), perdues dans l’immensité spatiale. Un chasseur d’un côté d’une galaxie, une chasseuse de l’autre. Et grâce à la liaison holographique, ils font connaissance et commençent à s’aimer. Je me disais que si le banc de Bidouille existait, alors chasser des trous noirs ça existerai un jour aussi… En fait je rêvais plus de l’idylle amoureuse que du risque énorme de se faire haper par une de ces choses qu’on ne peut même pas imaginer… Magique.
Premières rencontres avec l’unique Moëbius… Avec son histoire de types qui se balladent en Traction-Avant Citroën sortant d’un vaisseau spatial après un crash sur une planète irréelle… Naan mais… Là le mot énorme convient bien.
XIII ! Ca venait de sortir et je kiffais trop… Je suis content que ce soit devenu un gros truc -jme la pète, oui-, c’était pas possible autrement tellement les premiers albums renvoyaient la narration "classique" de l’époque au cimetierre… Pas de secrets.
 
Bon après vers 11/12 ans j’ai viré Gotlieb/Edika toussa, auxquels mon pote Sgoug m’introduisis. On lisait des bds à deux en pleurant de rire. Bon c’était aussi l’occasion (et l’unique pour moi) de mater des seins et des culs je le reconnais. Faut dire qu’on en voyait moins dans la vie de tout les jours (ah la pub aujourd’hui…) Des fois j’ai l’impression d’avoir 50 balais…
Et puis les mangas qui venaient lentement mais sûrement… Ce n’est que très récemment que j’ai pu m’y atteler plus sérieusement, avec le prêt de collecs de potes. Il ya des choses terriblement touchantes à tout point de vue. Une belle claque made in Honda. 
 
J’ai finalement quasi jamais acheté de bds de ma vie, tout en en ayant fait un grand pan de ma culture… Bravo. Mmmh pas franchement de Comics non, j’en eu un bon paquet aussi mais je trouvais ça chiant et puis kitch (90s, moulant ? hahaha)
 
J’adorais la télé bien sur, dès que j’avais l’occasion (sans parents donc, ce qui dans mon cas était difficile) je sautais dessus. Je passais mes soirées à lire mes séries dans mon lit. Tome 173. Retournement de K7. C’est parti…
 
(traduction du titre: dessine moi un mouton, Rhâ-Gnagna tome 2)
Categories
Audio&Games

Mobility Island

Le jeu portable a un énorme potentiel. C’est ce que je retiendrais de cette année.
 
Alors que le monde des consoles de salon s’est englué dans la HD et fait vroum² sur NFS, que le monde PC loot, tank, strafe, owne et cie en boucle, le jeu portable s’ouvre au monde, celui qui ne sait pas. Un grand élan de démocratisation.
 
Jouer quand on doit attendre dans la vie et qu’on ne peut faire que ça, voilà la clé. Parce qu’en étant adulte, même en étant joueur on a jamais (geeks et autres NoLife hors compet’ merci, je parle casual là) le temps en dehors de quelques soirées de temps en temps exclusives au jeu. Plutôt que de fumer une clope pendant que l’eau des pâtes bout, hop une partie. Dans la queue au supermarché, une partie. Le quai, les toilettes, durant une pause, on joue. Life is a Game et dans ces instants face à sa portable, c’est l’heure de prendre sa revanche…héhéhé…
 
 

"L’enfoiré de sa raaaaace JE LE CROIS PAS !!…." (via Wonderland)
 
 
L’intérêt c’est que dans une société européenne franchement défavorables aux jeux vidéo, le jeu trouve une légitimité qui jusque içi était assez tabou ("le jeu, c’est une perte de temps bla²") dans le fait d’être un outil de décontraction, dans toute sa simplicité ET son sérieux. Un anti stress. Exactement comme les grilles de mots fléchés de TéléStar ou le Prozac, mais en mieux. Plus dans le coup. Moins destructeur. Et puis une société moins hostile à mon milieu, je prends. L’idée étant d’aller vers même une envie, une volonté du public de vouloir faire ce métier de développeur. C’est le plus beau compliment qu’on puisse recueillir, non ?..:)
 
Bref culturellement le jeu portable dans sa version 2005 très attirante, est une aubaine sans véritable précédent. Et qui dit portabilité et facilité d’extension du produit dit… Nouveaux marchés. Ce dont le jeu vidéo a considérablement besoin ces derniers années; Regardez les Prince of Persia d’Ubi. De bons jeux dans leur genre. Un à chaque noël, la troisième c’est lourd quoi. Toujours le même public visé. Public très à l’aise avec le jeu vidéo et difficile à séduire qui plus est.
Si même des énormes éditeurs mondiaux se cassent les dents sur les suites de leurs propres succès, c’est que leur business model est en train de crever. Le dernier Prince de Perse va sans doutes se faire une réputation en occaz, c’est déjà ça ceci dit mais je ne crois pas qu’il fasse un carton… Donc faut élargir, ya pas de soucis là-dessus…
 
Côté développement les consoles portables, c’est le retour aux 90s; petites équipes, projets plus libres que sur des consoles où le coût s’élève à des dizaines de millions d’euros de production pour les gros titres… Ca va avoir du bon pour le tissus économique.
 
Sinon pour 2006, si j’étais riche je me pencherais fortement sur le développement d’un jeu PC, pensé/conçu pour les Laptops. Ben ouais, depuis un an je crois que ça représente plus de la moitié des ventes d’ordis… Et ils sont particuliers. Les vrais ordis de canapés, les seuls à être entrés concrètement dans la vie de tout les jours… Ya un truc à faire, sans doutes.
 
Pour le reste… Plus qu’à attendre (comme beaucoup semble t-il) que les autres arrivent sur le marché. Franchement ? Il me tarde grave :D
Categories
Me Myself&I

Let’s go out tonight

C’est l’heure des bilans non ?.. Ben ouais c’est un peu l’actualité générale et puis c’est l’essentiel de mes pensées en ce moment aussi.
 
Globalement, les choses ont avançées; j’ai mis au clair -ça c’est fait- une relation que j’aurais voulu plus intime , j’ai eu une relation toute mimi au début de l’été mais rapidement sans issues hop, et un plan cul avec une "professionnelle" de la baise pour se tenir chaud cet hiver que j’ai stoppé aussi, j’ai pu froid. Bref carrément mieux que l’année d’avant je dois bien l’admettre.
 
J’ai fini une formation, j’ai créé une démo, démarché, eu des touches, petite (euh…lol) déception de ne pas avoir réussi à conclure mais il faut être patient. J’ai produit un morceau from scratch par mois en moyenne ce qui est bien -ça fait un album l’année en comptant musicalement-, mais je peux faire mieux. Ouaiiiiis. Bien mieux que l’année dernière, ‘pas photos non plus.
 
C’est l’avantage de (re)partir d’en bas, té.
 
J’ai écrit quelques articles qui j’espère étaient intéressants à lire. Toujours autant dans le video game à tel point que des fois durant les réunions IGDA j’ai le sentiment d’être producer plus que sound designer; je visualise bien les mouvements économiques qui secoue ce monde qui n’est définitivement plus petit. Mais quand même toujours assez gamin. Ca fait parti de son charme, avec le recul de fin d’année et de ventre bien tendu :)
 
Je suis donc en bonne voie pour 2007; à moa l’Elysée ! \o/
 
Cette anné le grosgros coup de cœur aura été sans aucuns doutes l’acquisition de mes deux mignonnes: Miss Jazz Bass et Kitty Sheraton… Une véritable jouissance, un plus dans mon workflow, un échappatoire merveilleux… Tout quoi. J’ai vraiment vécu autour d’elles cette année. Ma voisine du dessous m’a même dit que ça devenait carrément écoutable -quand je joue de la basse- et vu ce que doivent être ses connaissances en Funk&Soul, je prends avec honneur le fait de la faire groover…:D
 
Bonheur indissociable de la découverte de nouveaux morceaux. Merci Funkhome, merci Soulseek. Et puis voilà le fichier audio c’est juste un gros step en avant; une playlist Funk de 15 jours en random, ça permet de jouer sur un paquet de morceaux différents. De parcourir un spectre fabuleux de pépites en un éclair. Et d’apprendre, et d’apprendre, et d’apprendre… Je ferais une playlist de mes titres de billets (un jour), ya 90% de titres de good black music (dont celui çi, un titre de One Way…So tight !!!!!).
 
Des fois je me fais peur, je me dit que c’est vraiment malsain d’écouter un même morceau pendant des heures ou de s’arrêter de verser du riz dans une assiette parce qu’il FAUT bouger son pti corps sur le break qui arrive trois quatre, UN ! (good god)… Je saute, je ris, j’ai le smile et c’est presque tout les jours comme ça depuis trois ans…
 
"La vie est belle" comme dit Patrice
Categories
Me Myself&I

Vit euf

Bon c’est parti pour le bullage en règle du 24/12; j’ai tout préparé, je suis bien sappé, j’ai pas repassé ma chemise évidemment, j’ai dans mon sac, mon bouquin NoLogo, mon baladeur MP3, ma DS, les casques qui vont bien, une trousse de toilette et les cadeaux….
 
Je rejoins mes parents ce midi, ca tombe bien ca fait un bail qu’on s’est pas vu. On fonce chez les grand parents vraiment pas en forme… Enfin un peu comme tout les grand parents, quand ils sont encore là… <positive Harold putaiiiiin>
 
Ouéééé c’est la fête !! :D Pourvu que mon sale quart d’heure soit rapide, pourvu qu’on me saoule pas (trop)…
 
J’ai envie de te dire je t’aime public. Oui toi le public, plein de joues et de sourires je vous embrasse tous bien fort. Cherchez pas, chuis comme ça c’est tout !
 
En parlant de strip tease, j’aurais bien une surprise pour le jour de l’an… Du genre qu..*pumff, pumf*
 
(joyeux noël)
Categories
Music

Inside Out

Manifestement, le traffic P2P continue d’augmenter. Presque trois fois plus élevé aujourd’hui qu’il ya deux ans et ce, malgré tout ce qu’a pu faire -ou tenté- la RIAA et cie. De l’autre côté on veut nous faire croire qu’iTunes et autres marchent super bien et même qu’ils feraient (presque) de l’argent. Sérieusement, on nage en plein délire.
 
Ce qui est certain, c’est que le modèle actuel de business de distribution de contenu musical n’est pas le bon. On le fait durer, on alimente la hype mais derrière se cache de très grandes inquiétudes. Le bouleversement du numérique et surtout de la connexion (quasi)permanente -on y est presque- est gigantesque et il est difficile de gérer tout ses aspects. download/stream ? périmé comme débat. compressé/qualité ? périmé aussi, ce n’est plus le problème surtout avec l’habitude de consommation nomade de la musique et les codec lossless sont là plus la bande passante qui s’élargit et qui permettra bientôt du uncompressed en un temps record. Bref tout cela fait parti du passé -déjà-, il n’ y a plus de barrière mais il faut bien une économie quand même…
 
[marrant j’ai écrit ce texte et deux heures après je tombais sur le débat de la loi DADVSI à l’assemblée.]
 
 
Il faut une économie et les deux seules camps à préserver car essentiels sont le public et les auteurs. Pas de DRMs ça c’est sur, c’est trop pénible pour tout le monde. En tant qu’auteur ça me permettrais de protéger mon boulot -contre quoi, une grande diffusion ?- mais ça ne me paiera pas plus, ce sera toujours les Majors qui maitriseront.
 
La licence globale (c’est-à-dire un forfait qui permet le download illimité) c’est bien dans l’idée -ça légalise de fait le P2P- mais c’est inapplicable; on reste dans l’ancien système à répartition avec une vraie question pour moi: qui répartit quoi ? il y aurait vite des sommes colossales à redistribuer et désolé mais je n’ai pas confiance quand je vois ce que la Sacem est capable de faire avec l’argent collecté (et je parle pas des taxes sur supports numériques dont on a AUCUNE possibilité de déterminer à quoi servent ces fonds). Mais bon la Sacem -gros lobby sarkozien d’ailleurs, Neuilly en Force- est contre la licence légale car elle perdrait en pouvoir -ce serait les FAIs les nouveaux "chefs"-, so… Voilà où on en est.
 
Il y a cet article de Gamasutra qui fait frémir tout le monde mais c’est vrai, la notion de copyright, pour quelquechose comme la musique, aujourd’hui, ça veut rien dire surtout quand des grenouilles font N1 au TOP50… Fini le romantisme.
 
Comme le disait très justement un internaute, à la limite "va pour le copyright"… Mais pas pendant des dizaines d’années pour les droits cessibles et 70 ans après la mort de l’auteur pour les droits moraux… C’est exagéré un peu non ? Oui des cas comme Patrick Hernandez ne seraient plus possible si on limitait le copyright à… dix ans par exemple. C’est sur, ça fait tout de suite moins rêver de faire de la musique… Aucun artiste n’a envie de se sentir en concurrence, avoir la pression… Pourtant c’est bien le cas, plus que jamais vu qu’on est pleins et il faut séduire des gens pour vivre et les morceaux d’X vendus seront autant de morceaux non-achetés à Y. Ben ouais.
 
Les mass medias c’est terminé. Enfin pour une partie du public en tout cas. On choisit, on personnalise et on va acheter sa came culturelle chez qui on veut ou presque. On morcelle. On sélectionne. On se regroupe par intérêts communs, entre "fans", on se fait découvrir des trucs et on s’achète par petits groupes nos coups de cœur… On ne peut pas retirer/limiter cela aujourd’hui, lâchez l’affaire madame l’Edition et madame la Distrib’, c’est plié, on a vraiment peu besoin de vous now.
 
[deux trois jours que je suis sur ce post, le débat sur la loi DADVSI a pris une tournure assez incroyable avec la légalisation -temporaire- du P2P, l’adoption de la licence globale mais pas tout à fait il ya eu vote et tout mais il y a encore vote aujourd’hui, pour voir si vraiment c’est bien voté. Parce que c’est comme ça, la démocratie.]
 
 
Je ne sais quoi penser… On dit que les artistes ne doivent que créer et ne pas s’occuper du juridique/commerce/gestion… A partir du moment où la musique est devenu un tel produit de base, je ne vois pas en quoi… Je veux dire les graphistes indés ils font comment ? Ben ils font tout et ils arrivent bien… Et on leur taxe leurs jpgs.
 
Le monde de la musique est déconnecté de la réalité, sous bien des points. Sans compter le prix du matériel ou l’espèce de sentiment "supérieur" qui traine chez les auteurs de musique, sentiment faussement légitime qui consiste à penser qu’on a créé quelquechose d’absolument unique et que c’est sur, on va tenter de me le copier, Les SPRDs (sociétés de gestion des droits) sont surpuissantes alors qu’elles ne servent quasiment à rien et que dans les pays où le copyright est roi, la créativité est sans commune mesure plus balaise (U-K, U-K, U-K !!!!!!) alors… What’s going on ???
 
Au final je me dis que la souveraineté de nos pays, c’est de la connerie… A quoi ça sert à part foutre le bordel au sein d’une communauté ?.. Ca serait tellement plus simple si chaque pays de l’Union n’avait comme possibilité que de fermer sa bouche, pas de possibilité d’amendements et autres ajouts spécifiques. On voterai en commun, avec 300 millions d’européens d’un coup et pi basta, on applique dans toute l’Europe. Là ? Je sais pas mais je pense que dans dix ans, on y est encore sur cette question de droit d’auteur dans le monde numérique… C’est lent putain alors que la vie -surtout numérique- est si rapide… Monde de merde…
Categories
Me Myself&I

Solo Blues

 
Petite dédicace à mon mate de skate, qui est parti se perdre -et accessoirement bosser- dans un hotel à Shanghaï. Là il a l’air d’avoir un peu le blues et les lumières de la ville me font penser au petit son que j’ai composé il ya peu (cliquai sur l’image et enregistrai sous)…
 
Categories
Me Myself&I

I choose you

Cinéé-ma, cinéé-ma…
 

Fantastic Four. Bon. Le film fait pour les cartes ciné illimitées, clairement. Ca me fait penser à de la série télé avec des effets spéciaux sympatoches… J’ai quand même fait quelques minis jeux sur ma DS durant le visionnage de ce film de SF. Aussitôt vu, aussitôt oublié.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Four Brothers. Je m’attendais à le descendre mais en fait j’ai beaucoup aimé. Forcément vu le thème me direz vous. C’est aussi un film de John Singleton, pas un grand nom du cinéma mais faisant parti du cercle très fermé des réalisateurs de film noirs. Je le connaissais surtout pour ses talents de scénariste pour Boyz in the Hood (qui avait pas mal fait de bruit quand il est sorti) et Higher Learning (merci imdb pour le rappel). J’avoue que dans le genre action/drame, ça le fait… Un bon film, façon blaxploitation un peu… Avec une bande son excellente, ultra classique (The Temptations, Marvin Gaye, Four Tops…) mais tellement bonne… J’adore les voix de Mark Wahlberg et de Andre Benjamin plus connu sous le pseudo AIM d’Andre 3000.
 
 
 
 
Sin City. Bon je connais pas la bd -gros tort ?..-, mais ça m’a laissé un joli goût de total ovni assez sympathique. L’image est top, les histoires pas mal mais je sais pas… Ca me ferait presque le même effet que Fantastic Four. En plus soigné, plus design, mais sinon je me fais chier devant ce genre de cinéma je crois… Ah oui, il ya Jessica -je trouve que tu fais un peu 16 ans- Alba et puis Rosario -je trouve que (pitch -12) "mmmmmmmh"- Dawson, dites Gail. Ouais enfin ça suffit pas hein…
 
 
 
 
 
 
 
Revolver. De Guy Ritchie, réalisateur de Snatch, mari de Madonna et videoclip maker de génie (mattez le fabuleux clip "What It Feels Like For A Girl"). Encore de l’image bien léchée. Des plans terribles. Des situations géniales, des acteurs excellents (aaah il m’a arraché une larme le Ray Liotta), [SPOILER]Moment terrible qu’est celui où notre transporteur préféré, dans son ascenseur se pose à peu près 40 milliards de questions sur ce qu’il doit faire ou pas[/SPOILER]. Un film de gangster mais en fait non. Andre 3000 is cool et rentre à merveille dans son rôle.Un film surprenant. Il faut que je le revois.
 
 
 
 
 
Be Cool. Une histoire de base, un casting excellent. Ca passe. Très bien même. L’eyebrow thing, Vince Vaughn plus noir que jamais, Uma hotter than she’s never been before, John Travolta encore plus extra lucide… Et Cedric the entertainer avec l’accent qui va bien, les phrases qui pètent, ouaiis ça le fait. Toujours Andre 3000 au casting, l’hallu… Heureusement petit rôle…"Playa…"
 
 
 
 
 
 
 
 
Kung Fu Hustle. Rien à dire, une belle claque dans la tronche. C’est poétique, ya de l’action de l’humour, des effets spéciaux -je pense aux trucages nums surtout, les cascades sont topissimes bien sur- un peu just mais une vraie sensation que le réalisateur Stephen Chow s’en donne à cœur joie. Pour notre plus grand bonheur. Des combats époustouflants…. Satire, action, divertissement, réflexion, tout est mélangé. La culture manga au cinéma. Encore, encore, encore…
 
 
 
 
 
 
 
Brice de Nice. Bon euh faut comprendre que perso je passe à travers tout matraquage médiatique, en dehors du métro. No Tv, no radio, anti pop ups, je passe ma vie dans une sorte de bulle quasiment sans pub. Alors c’est comme si j’en avais jamais entendu parler de ce film. L’Igor d’Hossegor m’a bien fait poilé et le film évite assez astucieusement les pièges de ce genre de portage. Le montage est remarquablement bien foutu (j’ai l’impression que c’est le domaine dans lequel la France excelle en terme de ciné), ya un ptit message -pas juste 100% déconn quoi- à l’américaine… Ca m’a fait passer un bon moment, je dois l’avouer. Maintenant, quand vous voulez du gr0ove dans la bande son, s’i vous plait s’il vous plait, arrêtez de récupérer le sempiternel Give me the Night de mon pote George Benson… Putain ce que c’est lourd…
 
 
 
Thirteen. Je voulais pas le voir pendant longtemps. Je m’étais tapé Ken Park déjà. Et Bully peu de temps avant. J’avais déjà donné dans le genre. Et puis en voyant la jaquette -et les récompenses de festivals-, j’ai pensé à ma petite sœur, qui vient de les avoir ses 13 ans. Je l’ai un peu retrouvé dans ce film sauf que là c’est une petite fille sans encadrement, livrée à elle ou presque là où ma sœur est sur-encadrée, ce qui me fait un peu peur mais bref. Thirteen, ou le portrait d’ados que je croise de temps en temps dans les transports, aux Halles et autres centres de consommation, avec les même manies, les même gimmicks… C’est bien filmé -un peu façon reportage-, la rapidité de mouvement évite le malaise qu’on peut retrouver dans les films de Larry Clark. Le white-trash, on te le fait passer pour rigolo à la Jackass, mais c’est pas si fun que ça…
 
 
 
Categories
Me Myself&I

Love ain’t easy pt II

Harold @ Gore’s House
 
 
I got my bass in my hand chante Bootsy. Absolument. Et quand je l’ai dans mes mains, debout au soleil, sentant la moindre vibration, avec cette ampleur, cette chaleur propre à la basse, sur un gr0ove lancinant, comme j’ai fait ce matin… Je crois que je suis le plus heureux du monde… J’envoie mon âme courir sur les cordes et je n’ai plus besoin de quoi/qui que ce soit… Une envie de donner indescriptible me parcours j’oublie tout, il ya moi le beat et ma conscience sous forme de notes, de sons, de slaps (héhé) et je je donne encore et encore, et je joue toujours ce même morceau jusqu’à ce qu’il vibre tout seul en moi…

"Aaah, c’est bon comme ça…"© LGD