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Youpi

Hier avant d’aller me coucher je me suis dit que ça ne pouvait plus continuer et qu’aujourd’hui j’irais la voir picétou. Après une nuit a rêver profondément d’elle (et franchement, c’est pénible) je me suis dit que ça ne pouvait plus durer.

Alors je l’ai vu. On a passé l’aprem’ ensemble. Je connaissais déjà les réponses à mes questions même si je voulais lui en poser d’autres. Il faut que ça me passe maintenant. Mais…

Je suis scandaleusement intoxiqué par cette nana et j’en suis fier. Un peu le genre de fierté du gars bourré qui sourit bêtement avant d’être tout malade plus tard, c’est vrai. Je suis encore sur le nuage, je redescends. "doucement les gars ! chuis bien là…" 

Je vais aller me faire à dîner et puis ensuite je lirais un peu ce bouquin sur le gansta rap avant de mater quelques vidéos pour rire.

Et quand je serais bien bourré et redescendu, je serais une grosse merde.

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h.viaFlickr

Flickr. Beaucoup détestent sa lenteur et ses formats, perso j’évite de trop y passer car un peu comme Youtube, ces sites sont totalement chronophages de ouf malade de chez temps qui passe. Vite.

En triant ma collek de fichiers musicaux, je me suis lançé dans le visionnage des 3339 photos (130 pages web) contenant le tag harold. Je vous passe les photos de chiens, tortues, grand-père et autres. Voiçi un tout piti best-of. Comment ça je suis en quête d’identité ? Pff rienavouar ^^ 

Harold and Jazia
Alors le Harold ce doit être le lascard avec le bouc. Je pense.
 
 


Harold et Maude fuck the war. Harold and his sista Maud too.
 


1955, premier livre, premiers coups de crayons.
 


Alors tu veux être une star ? Ben voilà c’est (déjà) fait.
 


RIP. Harold Hunter, skater, tag sur le mythique Brooklyn banks de NYC.
 

 
Tout.les.jeu.dis. 
 


Un Harold tout droit sorti de Las Vegas. ‘Where’s Dr Gonzo anyway ?"

Et une dernière qui ne veut pas s‘afficher (bouuh). Le fish eye ca owne.

 

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Suspennssse

Worst. Mother. Ever.

(vivement la Saison 3)

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La routine quoi

Plein de son dans les noreilles en ce moment. Je suis au beau milieu d’une autre reprise, et puis j’ai un remix à rendre avant mi décembre et puis encore et encore… Après trois mois de jeûn musical au Maroc, j’ai les crocs et quoique j’en dise, la vie est belle quand même. Même si.

Par quoi que j'commence...
me disais-je en contemplant mon poste de contrôle.

J’ai les poignets qui souffrent (je crois que c’est du clavier à la basse que ça fait le plus mal, au clavier les mains se balladent, à la basse elles mangent il faut appuyer fort etc…) et avec le froid qui s’installe, c’est crampes en veux-tu nan ben c’est pas grave en voilà. Je fais des journées dites "de base" comme beaucoup de jobs, 9h00-18h00 sur mes projets, le reste étant en plus. Avec tout ces changements de casquette et de prise de tête, je ne m’ennuie pas d’un iota… 

Je pense toujours aux hypothétiques vacances mais en fait ce n’est déjà plus qu’un rêve… Je crois que je dormirais bien deux jours d’affilés.

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Streets of Fun

 
"Naan mais je bosse là, tu fais.."*cheeeze*!

Cet homme est en partie responsable du virus de la video game music qui m’a été inoculé quand j’étais gamin. Koshiro Yuzo San est compositeur, presque une légende vivante pour nombres de fans. Ys, Shinobi, Streets of Rage, Actraiser, Shen Mue sont les petits chefs-d’oeuvre sur lesquels il a oeuvré soniquement parlant. Et marqué quelques générations de joueurs.

Alors je m’étais toujours dit que je ferais un jour une reprise, un remix du monsieur. Ce jour est venu et c’est le moment de shipper d’uploader de mettre à disposition de.

 
Bobigny, collection automne-hiver 2006…

Fin 80 début 90. J’ai tellement latté de types et de gonzesses dans ma jeunesse… Du premier qui m’ai marqué, Target Renegade (vazy lâches-moi la pute lààà) à l’ultime Streets of Rage2, aux musiques certes moins marquantes que le premier mais avec en contrepartie, des bruitages de baffes à faire pâlir Bud Spencer et Terence Hill. J’y joue encore des fois rien que pour ça. "Ouiii approches toi là…*paf_paf_paf_PAF*". Jouissif.

Les seuls jeux avec lesquels on pouvait jouer à plusieurs (deux, je dis ça pour les djeun’s qui pensent qu’on a toujours eu 4 ports manettes sur consoles ;p) étaient les jeux de baston et les shoot’em up (mais vu la teneur hardcore de ces derniers, c’était pas super marrant même à plusieurs). Ce n’était pas encore trop la mode du VS à la Street Fighter et on jouait essentiellement à deux en co-op. Les beat’em all de ces années étaient donc axés là-dessus et il n’était pas rare de s’entraider (ou de se savater, huhu) lorsque les vagues de bad boyz arrivaient ("fais gaffe à droite ! je m’occupe de celui du haut !"), Double Dragon II sur Nes en fit une belle démonstration dans mes souvenirs… Mais Streets of Rage qui sortait de nulle part, fut une claque magistrale (97% dans Joy/Console News) et mis tout le monde d’accord. Je jouais chez un ami et je me souviens des premières fois où on finissait le jeu et hop reset, on recommençait au moins les trois premiers niveaux… Pour le fun, pour l’ambiance, pour les musiques.
Plus tard quand on me prêtait la Mégadrive, j’enclenchais la 16bit Cartridge de Streets of Rage rien que pour me faire des petits sound test (au casque bien sur). Et cette musique de fin me faisait triper… Alors…


Un manche, une Ricoré, des doigts, du soleil. Let’s rec’ !

Mais tout d’abord, les crédits. Je vais la faire façon notes de pochette.

Title: Good Ending from Streets of Rage Original Sound Track

Composer: Yuzo Koshiro
Bass: Harold P.
Guitar: Harold P.
Piano: Harold P.
Synthetizers: Harold P.
Drums: Harold P.
Percussions: Harold P.
Strings: Harold P.
Drum programming: Harold P.
Strings arrangements: Harold P.
Orchestration: Harold P.
Recording engineer: Harold P.
Recording assistant: Harold P.
Mixing: Harold P.
Mixing assistant: Harold P.
Sequence editing: Harold P.
Sound editing: Harold P.
Sound design: Harold P.
Main arrangements: Harold P.
Mastering: Harold P.
Assistant mastering: Harold P.
Encoding&uploading: Harold P.
Executive producer: Harold P.

Pas mal. 20 casquettes différentes. Yuzo peut se targuer en plus du titre d’audio programmer, ayant codé toutes ses musiques directos en assembleur (ou pas loin) pour les deux synthétiseurs de la console de Sega.

Voiçi la version originale:

Cliquoti Cliquota

And now, ladies and gentlemen branchez vos caissons de basse… Ma mienne:

C'est cadeau

Cette reprise/remix est dédicaçée à deux potes: Marc Rousseau et Stéphane Poncet. Là où je me sens dans un état second c’est que je voulais faire ce post ce week-end et puis blues oblige, j’ai loosé. Dans un absolu hasard, Marc m’a écrit hier un mail très touchant après des années sans nouvelles… Et moi qui comptait faire de ce post un avis de recherche déguisé pour toi Marco… Marrante la Vie! :)

Donc ouais dédicace. A Marc pour les parties endiablées du samedi aprem’ pendant ces années 90, le prêt de sa Mégadrive qui m’a par bien des aspects lançé dans le trip de la video game music ("un jour, j’aurais mon nom au générique comme Yuzo !" lol). A Stéphane pour les parties de Nomad au dernier étage du lyçée et plus généralement, pour son amour du jeu et de sa culture.

Comme on dit aux zu-ess (parce qu’en français ça fait trop pédé tu vois) et vu que je sais que vous lisez mon blog de temps en temps: Love U guys !

Yep... 

ps:

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Happy me

Elle ne réponds paaas, jamaiiis. J’enrage tout muscles tendus et une seconde après je suis vide. What.the.fuck.

Bientôt un mois sans une putain de nouvelle. Ouais je jure à donf en ce moment j’arrête pas pour tout, pour rien. Au final ça me fait sourire, sourire dont je n’ai qu’une envie le partager avec elle. Elle qui du jour au lendemain, disparait de mes écrans radars. La copine de copine me dit qu’elle va bien mais que quand même, c’est bizarre qu’elle ne me (re)contacte pas.

Bizarre ouais. Putain de chie.

Et là avec cet enfoiré de froid "normal saisonnier" qui vient de se lever, j’ai encore plus de mal à supporter cette absence dont je ne capte pas tout: tout semblait converger vers un désir mutuel et… Et c’est le drame. No news. Et à part envoyer des roses pour son anniv, lui écrire une zic et préparer un pti brunch j’ai rien fait de mal, je vous jure.

Non ras le cul de la patience, je suis patient mais là non, parce que cette année, je ne veux pas passer l’hiver seul. Mais vraiment pas. Je veux danser avec elle à côté de la cheminée et rigoler. Rire à gorge déployée avec sa nana c’est trop top, ça fait parti du Bonheur avec un grand B. 

Bordel de merde c’était bien parti, comment je fais pour en arriver là… Oh putain ayé la fontaine. J’vous laisse, je vais m’essuyer le museau avant de refaire couler tout ça…

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Analyste généreux

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

Il paraitrait que je le suis. Un bon profil pour se faire niquer (mais vous ne m’aurez pas, naaan)… En tout cas il est bien foutu ce petit questionnaire, varié, sans prise de tête grâce aux sli… Merde. Il dit vrai en plus.

 

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Ecoute

Ce week-end c’est

et puis ensuite

 

Let’s get funktified…

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o_Ô

Qu’est ce qui me prend d’écrire des trucs pareils… Ah si, ça me permet de penser à autre chose. Une sorte de "LALALALALA" en plus intéressant. Comme ça la douleur, elle… Merci.

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Idée reçu

Bon. Vu que les animaux préhistoriques partouzeurs de gauche se tirent dans les pattes et disent de la merde, Je vous file un lien qui va bien. (23 pages, français allez le lireuu)

C’est une interview de monsieur Hernando de Santo, économiste péruvien. Pitch:

Dans le droit fil de Milton Friedman ou Friedrich Hayek (notedemoi: anciennes stars du X reconverties, laissez tomber) l’économiste péruvien prend le contre-pied de la pensée tiersmondiste (ndm: et franco-gaucho-française) selon laquelle la persistance de la pauvreté mondiale serait une conséquence de la mondialisation libérale qui priverait les pays pauvres du capital nécessaire à leur décollage.

En gros ce qu’il dit c’est que:

  • cette pensée tiersmondiste est bidon en fait.
  • le libéralisme est la meilleure manière d’abolir les privilèges.
  • si les privilèges restent, ce n’est pas de la faute au libéralisme. 
  • si les privilèges restent, c’est parce qu’il n’y a pas de cadres légaux mondiaux.
  • les cadres légaux mondiaux sont biaisés par nos partisans conservateurs (qui se disent parfois, libéraux).

Conclusion: ce sont ces cadres, ces ensembles de règles qui régissent l’efficacité libérale qu’il va falloir faire fonctionner de manière à satisfaire el pueblooo, todo el pueblo. Moins il ya de flous, plus c’est fluide. Moins c’est fluide et plus il y a d’injustices. De mon petit point de vue de citoyen, je le vois dans deux cas:

Le cas Lik Sang dont je parle dans mon post précédent. Société taïwanaise spécialisée dans l’import obligé de fermer ses portes car rognant les marges de Sony Europe. Les lois protègent nos sociétés aux détriments de nos consommateurs. C’est ça le biais d’un manque de cadre mondial, d’une multitude de cadres nationaux et trans-nationaux. Cette société asiatique online, mondiale, doit se plier au jeu des régions. Et mourir.

Le cas des importations de poulets brésiliens en Europe. Nous on est super sympa avec eux, on les encourage à produire et à exporter. On leur octroit 0,4% de notre marché, au-delà on les taxe leur race. Le coeur sur la main, on veut vraiment les aider. Sérieux. Splendide démonstration d’un libéralisme unilatéral et encore une fois, biaisé. 

Extraits de l’interview:

"Elles sont authentiquement conservatrices [les élites pseudo-libérales péruviennes], au sens étymologique du terme. C’est le passé qu’elles désirent préserver. À savoir : les privilèges hérités d’une époque où l’acquisition des richesses ne devait rien aux vertus économiques des individus, mais était liée à l’attribution autoritaire d’avantages hiérarchiques de rang, de statut et de race."

On a encore *pas mal* ce problème là en France hein, entre nous soit dit. 

"Cette révolution [dans le tiers monde] consisterait non pas à confisquer la propriété des uns pour la redistribuer aux autres, mais seulement à accorder aux plus pauvres la reconnaissance formelle du droit sur ce qu’ils possèdent déjà de manière informelle, aussi modeste cela soit-il."

Révolution qui devrait s’appliquer également chez nous. D’où le fait que pas mal d’élus soient pour l’accès à la propriété des plus pauvres, parce que ça change la vie, et le reste. "Quoi ??? Mais que deviendrais l’avantage d’être riche ??" Privilèges on disait ? Héhé…

"Nous nous heurtons à un immense problème de langage et de sémantique [au Pérou]."

Içi aussi… Le discours économique des politiques fait frémir tellement il est fait de vide. Faut dire qu’avec notre niveau de langage et de sémantique -richesse du français oblige-, on a certainement les meilleurs endormeurs de la planète. 

Et puis il ya des choses qui perdurent toujours, comme cette rancoeur populaire envers ceux "qui gagnent plein de blé" comme ces trous du cul de footballeurs, genre c’est pas nor-mal. Alors qu’en fait, ça s’explique assez facilement si on se penche sur le sujet

2007… (on inspire) Pffffffff